© Yves Tennevin/CC BY-SA 2.0
Trois Algériens présentés comme des influenceurs sur les réseaux sociaux et accusés d'incitation à la violence ont été interpellés ces derniers jours en France. Le dernier en date a été arrêté ce dimanche 5 janvier à Montpellier (Hérault) pour « appels au meurtre », « apologie de la torture » et « propos antisémites ». L'annonce en a été faite par le ministre de l'Intérieur, Bruno Retailleau, avec la mention « Ne rien laisser passer » sur X.
Le maire (PS) de Montpellier et le préfet de l’Hérault avaient signalé la veille à la justice la publication sur TikTok d’une vidéo de l'influenceur en question, dans laquelle il appelait à la violence contre un manifestant algérien anti-régime, rapporte l’AFP. L'édile, Michaël Delafosse, a « salué la célérité du procureur de la République de Montpellier suite au signalement au titre de l’article 40 pour incitation à la haine déposé en ma qualité de maire et par le préfet de l’Hérault ».
Avant lui, un premier influenceur a été interpellé, vendredi 3 janvier, à Échirolles (Isère) pour avoir publié une vidéo appelant à « brûler vif, tuer et violer » les opposants au régime algérien sur le sol français ; le deuxième à Brest (Finistère) après avoir appelé à commettre des attentats en France, lui aussi contre les opposants au régime algérien.
Ce dernier, sous le coup d'une obligation de quitter le territoire français (OQTF) comme son compatriote arrête à Échirolles, a été placé en détention provisoire et sera jugé le 24 février par le tribunal correctionnel de Brest pour apologie du terrorisme.
Le maire (PS) de Montpellier et le préfet de l’Hérault avaient signalé la veille à la justice la publication sur TikTok d’une vidéo de l'influenceur en question, dans laquelle il appelait à la violence contre un manifestant algérien anti-régime, rapporte l’AFP. L'édile, Michaël Delafosse, a « salué la célérité du procureur de la République de Montpellier suite au signalement au titre de l’article 40 pour incitation à la haine déposé en ma qualité de maire et par le préfet de l’Hérault ».
Avant lui, un premier influenceur a été interpellé, vendredi 3 janvier, à Échirolles (Isère) pour avoir publié une vidéo appelant à « brûler vif, tuer et violer » les opposants au régime algérien sur le sol français ; le deuxième à Brest (Finistère) après avoir appelé à commettre des attentats en France, lui aussi contre les opposants au régime algérien.
Ce dernier, sous le coup d'une obligation de quitter le territoire français (OQTF) comme son compatriote arrête à Échirolles, a été placé en détention provisoire et sera jugé le 24 février par le tribunal correctionnel de Brest pour apologie du terrorisme.