La polémique n’en finit pas d’enfler. Après les propos de Maître Gims demandant aux musulmans de ne plus lui souhaiter la bonne année pour des motivations religieuses, Valérie Pécresse a été sommée de s’exprimer, elle qui est soutenue par l’artiste dans son chemin politique.
La présidente de la Région Ile-de-France, la chef de file de LR pour la présidentielle, a indiqué, lors de son passage sur l’émission C à vous sur France 5 mardi 4 janvier, qu’elle s’est entretenue avec le chanteur et qu’elle lui avait remonté sa déception.
« Ces propos, c'est tout ce que je combats. C’est du communautarisme, c'est nier nos fêtes calendaires, c'est se replier sur une communauté religieuse », a-t-elle jugé. « J'ai été déçue parce que jamais je n'avais entendu Gims communautariser son discours. »
« Il m'a dit qu'il était désolé, qu'il ne voulait pas blesser et qu’il allait souhaiter bonne année à tout le monde », a assuré Valérie Pécresse. « Mais pour moi, c'est un discours séparatiste et je ne peux pas faire autrement que de le condamner et de le lui dire en face. »
La présidente de la Région Ile-de-France, la chef de file de LR pour la présidentielle, a indiqué, lors de son passage sur l’émission C à vous sur France 5 mardi 4 janvier, qu’elle s’est entretenue avec le chanteur et qu’elle lui avait remonté sa déception.
« Ces propos, c'est tout ce que je combats. C’est du communautarisme, c'est nier nos fêtes calendaires, c'est se replier sur une communauté religieuse », a-t-elle jugé. « J'ai été déçue parce que jamais je n'avais entendu Gims communautariser son discours. »
« Il m'a dit qu'il était désolé, qu'il ne voulait pas blesser et qu’il allait souhaiter bonne année à tout le monde », a assuré Valérie Pécresse. « Mais pour moi, c'est un discours séparatiste et je ne peux pas faire autrement que de le condamner et de le lui dire en face. »