Connectez-vous S'inscrire

La vie du Prophète de l’islam mise en scène par Charlie Hebdo

 Juvénal
Lundi 31 Décembre 2012

Notez Version imprimable
[Ignorer]
Un exemple : IL SE TAPAIT UNE FILLETTE DE 9 ANS !!!
LE BEAU MODELE MOMO le prophete avait 52 ans lorsqu’il a demandé AICHA en mariage, elle avait 6 ans !! Faut dire qu’il a attendu 3 ans avant de consommer, Elle jouait à la poupée dans sa couche rapporte la SUNNA, Sans anachronisme, comment celà s’appelle t il? QUEL BEAU MODELE que tout musulman se doit d’imiter,,,,,, Petit rappel: Hadith 114 dans le Sahîh de Muslim “Aïcha a dit : “J’avais six ans lorsque le Prophète m’épousa, neuf ans lorsqu’il eut effectivement des relations conjugales avec moi”. Puis elle relatait : “Nous nous rendîmes à Médine. J’avais eu la fièvre pendant un mois, et avais perdu mes cheveux; mais ils repoussèrent abondamment et m’arrivèrent jusqu’aux épaules. Ma mère, ‘Umm Rûmân, vint me trouver tandis que j’étais sur une balançoire, entourée de mes compagnes. Elle m’appela et je me rendis à son appel sans savoir ce qu’elle voulait de moi. Elle me prit par la main, me fit rester sur la porte de la maison, jusqu’à ce que ma respiration haletante se fût calmée. Elle me fit ensuite entrer dans la maison où se trouvaient des femmes des ‘Ansâr qui me dirent: “A toi le bonheur, la bénédiction et la meilleure fortune!” Ma mère m’ayant livrée à ces femmes, celles-ci me lavèrent le visage et la tête; et se mirent à me parer. J’avais à peine fini, que l’Envoyé d’Allah entra, lorsqu’il était encore le matin. Alors on me remit entre ses mains.” Ainsi suivant les propos mêmes d’Aïcha, l’une des nombreuses “conquêtes” de Mahomet, n’avons-nous pas là la preuve irréfutable de la dangerosité de la personnalité de ce “prophète”, à travers l’aspect de cette sexualité, qu’on qualifiera raisonnablement de pédophilie? Car ce mot désigne bien le fait d’avoir eu ou de vouloir avoir des rapports sexuels avec des personnes considérées en règle générale comme n’étant pas suffisamment matures et libres pour pouvoir penser vraiment à ce genre de chose, que l’enfant soit consentant ou pas. " Khadija est morte trois ans avant que le Prophète parte à Médine. Il y est resté environ deux ans et il se maria ensuite avec Aisha qui était une fillette de six ans; elle était âgée de neuf ans quand il a consommé le mariage. " (récit du père de Hisham, Bukhari LVIII 236) (il avait 52 ans !) un vieillard pour l'époque !
autre e"xemple de la BD :
ensuite il convoita Zynab, la femme de....
Zaïd son fils adoptif (inceste) et une sourate bienvenue descendit l'autorisant a la prendre, interdisant aux musulmans l'adoption (donc Zaïd n'était miraculeusement plus son fils par volonté divine rétroactive cqfd). Rappelez vous l'aventure de l"arche de Zoë" (ONG) qui voulait faire adopter des africains musulmans, ignorante de ce précepte islamique !! D'autres surprises de la vie du prophète seront révélées dans la BD de CHARLIE HEBDO aux bobos ignorants et aux autres sur la vie exemplaire de ce (faux ?) prophète .... à suivre
 Aboujibrîl
Lundi 31 Décembre 2012

Notez Version imprimable
[Ignorer]
A visionner avant de dire n'importe quoi !
http://www.youtube.com/watch?v=lQJ27Q6Lxxw
 Aboujibrîl
Lundi 31 Décembre 2012

Notez Version imprimable
[Ignorer]
Elle avait 19 ans !
 Juvénal
Mardi 1 Janvier 2013

Notez Version imprimable
[Ignorer]
Je vois que les réalités des recensions des hadith du prophète de l'islam indisposent ! La chaîne de ces recensions est pourtant avérée et reconnue par les "savants de l'islam. Le fait de faire état de la Sira de votre prophète choque la "bien pensance" orthodoxe et pourtant ces textes sont, ne vous en déplaise ceux de musulmans authentiques. Allez vous désormais les mettre à l' "index" comme le faisaient les chrétiens autrefois ? Ou alors les réserver aux seuls initiés ? Bonne année à tous !
 Juvénal
Mardi 1 Janvier 2013

Notez Version imprimable
[Ignorer]
Il est vrai que l'exégèse historico-critique des textes de l'islam n'est pas tolérée depuis la fermeture des "portes de l'hijtihad !, hélas, car trop décapante pour un ""aggiornamento" de votre religion. Chebel, Arkoun,Biddar... et les penseurs du mouvement Nada autrefois sont bien dérangeant et bien seuls à "ouvrir les lumières" d'une religion fermée et pour laquelle l'age d'or est dans le passé, qui par essence est révolu !
 Juvénal
Mardi 1 Janvier 2013

Notez Version imprimable
[Ignorer]
Je ne resterai peut-être pas sur le site...trop d'invectives gratuites...on traite celui qui débat d'islamophobe et tout est dit ! Alors plus de discussion possible dont la stérilité est évidente pour quelqu'un de bonne foi ! Que de frustrations celà doit-il cacher ? Sensibilité à fleur de peau et tout débat est vécu comme une agression. Alors je crois m'être fourvoyé ici. Je crois que je vais vous laisser entre vous?
 Juvénal
Mardi 1 Janvier 2013

Notez Version imprimable
[Ignorer]
On dirait bque vos réflexions ? sont issues de pensées de fond de cendrier...elles volent en effet très haut dans la scholastique islamique rabachante et stérile !
La plus grande gloire de Dieu est l'homme debout ! (sous entendu devant lui, il n'a pas besoins de larves inclinantes) Irénée de Lyon. 2ème siècle.
 Juvénal
Mardi 1 Janvier 2013

Notez Version imprimable
[Ignorer]
REFLECHISSONS !

La force des mots, la manipulation de trop

Il n’est pas nécessaire qu’un mot définisse quelque chose de mauvais, de laid ou de haineux ; il suffit juste de lui associer une image très laide. Un acte odieux perpétré par un individu de confession musulmane, et ce sont les hommes, les femmes, les enfants musulmans que l’on présente comme odieux. Un crime de terreur commis par un groupe d’individus de confession musulmane et c’est l’ensemble de la communauté musulmane qui est criminelle. Le mot « musulman » est associé à l’odieux, au crime, à la terreur. L’utilisation du mot « kuffar » dans la communauté musulmane devient récurrente pour désigner les non-musulmans. Pluriel du mot « kafir », il signifie dans l’histoire de l’islam les mécréants, les incrédules, les négateurs. Au temps du Prophète, ceux qui étaient désignés par ce mot intriguaient, conspiraient contre les nouveaux pratiquants de la nouvelle religion qu’était alors l’islam. Ce mot chargé d’Histoire connote une idée d’ennemi, de conspirateur, celui dont il faut se méfier. Ainsi, nommer les non-musulmans de « kuffar » revient aujourd’hui à les désigner comme des ennemis. Cette dénomination facile renvoie d’office à une division du monde en deux catégories : les musulmans, d’un côté,les purs, et les ennemis des musulmans, de l’autre, les impurs.(c'est à dire des êtres supérieurs d'un côté, et des êtres inférieurs de l'autre, d'où la naissance d'une forme de racisme propre à l'islam.)cf le verset coranique : vous êtes la meilleure communauté qu'Allah ait fait surgir parmis les hommes. Le danger de cette classification réside dans le nouveau sens du mot « musulman » au sein de la communauté : il ne veut plus signifier la soumission, la soumission au Tout-Puissant ; sa définition renvoie désormais un individu qui serait dénué de défauts humains, lesquels seraient uniquement attribués à la catégorie des « kuffar ». Le musulman ne serait donc ni hypocrite, ni menteur, ni tricheur, ni criminel, encore moins conspirateur ! Ce qui atteint alors la communauté, c’est l’inévitable arrogance : celle qui mène à se croire au-dessus de tout, à ignorer ses moindres erreurs, ses moindres maladresses, à ne plus voir l’être humain en la personne non musulmane. Cela se produit graduellement dans les petits gestes du quotidien : des « bonjour » dits du bout des lèvres à un voisin dans un immeuble, que l’on ne met pas dans la catégorie des musulmans ; des sourires de plus en plus rares en dehors du cercle des musulmans reconnaissables à première vue ; l’indulgence de rigueur envers son enfant musulman qui tape sans raison un autre enfant « kuffar » dans un bac à sable ; ce sont aussi les recommandations ignorées, malgré leur validité, d’un enseignant appartenant au « mauvais groupe ». Sans bien s’en rendre compte, les membres de la communauté musulmane tissent une toile d’animosité autour d’eux, ils dressent un mur invisible néfaste pour les personnes des deux côtés du mur.
 Juvénal
Mercredi 2 Janvier 2013

Notez Version imprimable
[Ignorer]
Je ne suis qu'un dhimmi ! C'est à dire un être inférieur et je revendique de rester debout devant Dieu ! et non de m'aplatir tel une larve. La plus grande gloire de dieu est l'homme debout ! Irénée de Lyon. 2ème siècle. (contre les hérésies). Dieu se doit de respecter ses créatures qui ne lui ont rien demandé ! Et il ne peut se satisfaire de les humilier par un abaissement esclavagiste.
 Juvénal
Mercredi 2 Janvier 2013

Notez Version imprimable
[Ignorer]
Hélas la dhimmitude est un racisme islamique, situant le mécréant comme un être inférieur qui doit demander protection et reconnaître cette infériorité. Vous êtes la meilleure communauté est aussi un racisme coraniquement avéré, classant les humains en une hiérarchie insoutenable juridiquement en notre pays.
 Juvénal
Mercredi 2 Janvier 2013

Notez Version imprimable
[Ignorer]
L’islam a comme texte fondateur principal le Coran, livre saint des musulmans, conçu par un homme cruel appelé Mahomet, qui réussit à bafouer, rien qu’en un seul livre, ce qui fait la base de notre société démocratique : notre respect d’autrui, nos libertés, nos lois et notre culture.

En Belgique, si un livre contient un seul passage incitant à tuer telle ou telle personne, son auteur est immédiatement traduit devant un tribunal afin d’y être jugé pour incitation au meurtre.

Il en est de même pour toute

- incitation à la torture ou à l’atteinte à l’intégrité physique d’une personne
- incitation à la haine raciale
- incitation à la discrimination sexuelle
- incitation à la pédophilie
- exploitation de l’être humain (esclavagisme)
- ….

Or le Coran, le livre saint des musulmans, la soi-disant « parole de Dieu » transmise en direct à Mahomet, contient des dizaines et des dizaines d’incitations à ces faits criminels !

- Le Coran est criminogène : celui qui met en pratique certains de ses versets devient immédiatement un multi-criminel selon nos lois.
- Le Coran incite au meurtre de celui qui quitte l’islam.
- Le Coran incite au meurtre de celui qui a des pratiques sexuelles non-autorisées (homosexuel, adultère, relation sans être marié, …)
- Le Coran appelle au meurtre des Juifs, des Chrétiens et des incroyants.
- Le Coran appelle au meurtre de celui qui critique l’islam ou son prophète (voir affaire des caricatures)
- Le Coran encourage la violence et le vol des non-musulmans.
- Le Coran autorise l’esclavage.
- Le Coran refuse la démocratie.
- Le Coran autorise la pédophilie.
- ……
 Juvénal
Jeudi 3 Janvier 2013

Notez Version imprimable
[Ignorer]
Voilà ce qu'écrivait l' ami FOG directeur du Point sur le même sujet, pour votre compréhension d'une pensée libre et différente, si vous voulez bien y prêter attention :
« Si l’on en juge par les réactions qu’a provoquées notre une de la semaine dernière, consacrée à ‘Cet islam sans gêne’, il n’y a plus de doute : notre pays est affligé d’une nouvelle engeance aveugle et sourde, mais, hélas, pas muette. Elle prolifère sur la Toile, dans les médias et l’intelligentsia, du moins dans celle qui a cessé de penser. Elle fonctionne au réflexe conditionné et ne sort de sa naphtaline que pour des indignations sélectives qui nous ramènent au temps de Panurge, son idéologue officiel. Elle n’avance qu’en meute et ne s’exprime qu’en chœur ».
« Il a suffi que nous mettions le focus sur une fraction de l’islam, comme l’indique sans ambiguïté, sur notre couverture, l’adjectif démonstratif ‘cet’, pour que nous fussions aussitôt accusés de racisme anti-arabe ou anti-noir. Les bouffons ! Ils font preuve d’un insondable mépris envers ces collectivités humaines pour les réduire aux dérives marginales d’une religion. Il est permis de secouer comme un cocotier le haut clergé catholique, pape compris, mais, devant cet islam sans gêne qui nous occupe, il faut rester le doigt sur la couture du pantalon. Passez votre chemin, de préférence en fermant les yeux ; sinon, vous stigmatisez, et c’est interdit. Or la vocation du journalisme, s’il en a une, n’est-elle pas de déterrer, d’exposer, de démasquer ? ».
« Nos flics idéologiques n’ont pas compris cela. Ils n’ont pas compris non plus qu’ils confondent les peuples et les religions. Nul ne dira jamais que tous les Américains sont mormons, tous les Allemands, luthériens ou tous les Britanniques, anglicans. Ou inversement. En revanche, il faudrait que tous les Arabes et tous les Noirs soient musulmans, appartenant de surcroît au courant revendicatif et minoritaire que nous décrivions dans notre numéro. Nos marchands d’anathèmes montrent ainsi leur vrai visage. Ils enferment des populations entières dans une identité religieuse qu’on peut être en droit de considérer comme simplificatrice ou caricaturale »