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« Le Point » s'en prend à la viande halal

 sunny
Mercredi 16 Janvier 2013

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Le CCIF ne devrait même pas répondre à la provoc de ce machin. Leurs sujets tournent en boucle, bientôt ils vont nous dire que la bouffe halal est une arme terroriste. C'est ridicule et ça ne méritent pas qu'on s'y arrête.
 Juvénal
Mercredi 16 Janvier 2013

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HALLAL UN RACISME DISSIMULÉ

L’astuce de présenter les interdits alimentaires comme une émanation d’une volonté supérieure est observée aussi bien dans l’Ancien Testament que dans le Coran. Affirmer plus franchement que ces prescriptions ont pour seule finalité l’enfermement du croyant dans une norme culpabilisante où, à chaque instant, celui-ci craint l’égarement, aurait vu la diffusion des sectes monothéistes beaucoup moins couronnée de succès. Le judaïsme a réalisé un travail pesant dans la distinction entre le licite et l’illicite dans le Pentateuque et l’islam se contentera d’en reprendre une bonne partie. Mille quatre cents ans après l’invention de l’islam par un chamelier analphabète reconverti en chef de bande, les phobies alimentaires demeurent toujours extrêmement prégnantes dans le monde musulman. L’obsession du halal devient même une mode aux allures revendicatrices chez de nombreux jeunes musulmans : exécrer le porc devient un symbole de vertu alors que n’importe quel bon vivant non frustré par une religion castratrice s’égaillera à l’idée que “dans le cochon tout est bon“. Quel consommateur non halal ne s’est jamais senti insulté ou méprisé quand un obsédé du halal affiche son dégoût du porc ? Lorsqu’un fanatique des interdits coraniques demande, inquisiteur, la composition précise du met qui lui est aimablement proposée, comment ne pas être vexé par cette suspicion qui se porte aussi sur celui qui offre ? Spécificité culturelle ou progression rampante d’une idéologie de rejet ? Ce que les pleutres acceptent comme une prétendue spécificité culturelle (la véritable culture n’enferme pas l’individu) est en fait la progression rampante d’une idéologie de rejet de la différence. Récemment, une campagne d’affichage d’Isla Délice pour la promotion des produits halal montre divers animaux clamant qu’ils sont “fièrement halal“. Quand on sait que ces bestioles finiront égorgées par un mystique persuadé qu’Allah tient son couteau, on mesure mieux le caractère provocateur de cette campagne dont le slogan décrypté serait plutôt : “le halal est l’étendard de l’islam“. Ce qui, incidemment, montre aussi que les amateurs de halal sont encore loin d’avoir pris conscience de la nature barbare et archaïque du rituel imposé. Le concept de nourriture halal ne se limite pas à la distinction, qu’on pourrait juger anecdotique ou simplement gastronomique, entre les aliments autorisés et ceux interdits. Opposer le halal au haram relève de la même phobie de l’altérité qui a poussé l’islam à scinder le monde en deux parts, le monde de l’islam et le monde de la guerre. C’est l’un ou l’autre, sans zone alternative où les non musulmans pourraient vivre en paix. L’obsession de la nourriture halal est celle du pur face à l’impur, du fidèle face à l’infidèle, de l’élu face au mécréant. La dichotomie du “comme moi ou différent de moi” est en fait celle du “avec moi ou contre moi” qui constitue un très efficace facteur de haine et de guerre. L’obsession de la nourriture halal est celle du pur face à l’impur, du fidèle face à l’infidèle, de l’élu face au mécréant. Dans le verbiage islamique qui se repaît de nourriture “autorisée“, le non musulman est à l’image des mets qu’il consomme : un impur. On sait, depuis la Bible, que l’impureté se transmet par contact : le texte assène que, lors des règles, l’impureté de la femme dure une semaine et se transmet à quiconque la touche ainsi qu’au lit ou au siège qu’elle utilise et à tous ceux qui touchent ce lit ou ce siège (Lévitique, 15.19-30). Comme l’islam se réclame du mythe abrahamique, la sentence vaut donc aussi pour lui : on comprend bien que quiconque aura ingéré un aliment déclaré impur sera, physiquement, lui aussi affecté par la souillure. Une saucisse de Toulouse accompagnée par un Cahors, quelques huîtres non égorgées en direction de La Mecque aux côtés d’un Jurançon ou le foie gras d’un canard tué sans l’invocation d’Allah et c’est l’assurance d’être relégué dans l’infamant statut des koufar face aux pieux croyants, immaculés et purs par la seule vertu de leur nourriture. Personne d’autre que ces derniers ne montre autant d’empressement à examiner la liste complète des ingrédients d’un yaourt aux fraises pour s’assurer que n’y figure aucun émulsifiant d’origine animale, aucun colorant à base de cochenille, aucune gelée de porc, aucun alcool. L’infidèle qui n’a que faire des phobies alimentaires musulmanes n’est qu’un sous-individu que le Coran sait accabler dans d’innombrables versets de haine et de mépris. Et scinder l’humanité entre des individus purs et supérieurs et d’autres impurs et inférieurs a un nom : le racisme.
 Juvénal
Mercredi 16 Janvier 2013

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Engagement du Président Hollande :

« Sous ma présidence, rien ne sera toléré en termes de présence de viande halal dans les
cantines de nos écoles! », avait dit M. Hollande le 2 mai 2012 sur TF1 face à tous les
Français ! Supermenteur ? Ou va-t-il passer enfin aux actes ? Nous, parents, n'avons pas à
subventionner un culte au sein de l'école publique et laïque ! Respectons la loi de 1905.
 peace
Mercredi 16 Janvier 2013

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lol le halal un racisme dissimulé !!!! qu'est ce qu'en peut lire comme betise tt de même c'est terrible et terrifiant!
ouep terrifiant une personne qui se met derrière son ordinateur et s'échine à faire un texte d'un mètre de long ,en se prenant la tête à trouver des arguments avec réf biblique à la clé (hihihi ) pour dire que "l'autre" a une dérive raciste alors que son propos transpire le rejet de l'autre!!!!
ahhhhhhhhhhhhh ça doit être dur tout de même d'être géné à ce point par la croyance,les rites etc....des autres !!!!
Ahhh c'est fou mais au final quand on est tolérant ben on se prend moins la tête!!!hein!!!faut essayer!!
 sonia
Mercredi 16 Janvier 2013

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L'idéal serait de reverser l'argent des certifications pour la défense des minorités religieuses en terre d'Islam et de demander que hallal soit systematiquement indiqué sur les viandes qui le sont. Après tout les chrétiens pensent qu'ils ne doivent pas manger de viande sacrifiée à des idoles et l'Islam est une religion de paix et de tolérance.

Non je déconne, on change rien et on continue. Cela marche tellement bien.
 lr407
Mercredi 16 Janvier 2013

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La stigmatisation et la récupération politique, on peut dire, que la question de l’Islam est largement construite en épouvantail, en contre-modèle républicain, laïque et égalitaire. Ce n’est pas une question nouvelle dans les médias. Cette question du halal et de la visibilité religieuse est également très instrumentalisée politiquement, à droite comme à gauche.

Le marché halal a pris des dimensions considérables : il touche non seulement la viande mais aussi tous les produits carnés, les produits alimentaires sans alcool, les médicaments et les cosmétiques.
Ce sont des musulmans éduqués qui sont socialisés en Europe, dans des sociétés sécularisées, et non pas les primo migrants des années 80-90, qui posent des questions sur les méthodes d’abattage et qui demandent des preuves de conformité et plus de transparence sur l’étiquetage des produits.
 lr407
Mercredi 16 Janvier 2013

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Le projet DIALREL

L’abattage religieux a souvent été un sujet émotionnel et un objet de controverses, entre considérations relatives au bien-être animal et défense des droits humains et des cultures. Les pratiques actuelles sont variées et les règlements religieux sont encore souvent confus. Les demandes et préoccupations des consommateurs doivent être également pris en compte. Il y a donc nécessité de s’informer sur les techniques d’abattage, sur les produits qui en sont issus, sur les attentes des consommateurs, sur les marchés de ces produits. Le projet DIALREL ambitionne de rassembler ces informations en encourageant un dialogue constructif entre les différentes parties impliquées.
http://www.dialrel.eu/introduction/version-francaise
 jopan
Mercredi 16 Janvier 2013

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sans vouloir faire aucune polémique que ce soit,il n'est quand même pas normal qu' étant en france nous soyons obliger d' avoir de la viande halal parce que là c'est une imposition presque;car comme il ni y a pas d'étiquetage.imaginons a l' inverse nous sommes chez eux que nous voulions leurs imposer le porc ou d'autres choses que dirait il.. voila une question a poser.car même les pizzas pas toutes heureusement mais le jambon c'est de la dinde & les lardons du veaux tricherie
restons dans nos traditions& tout le halal il n'ont qua le faire venir de chez eux nous payons bien le pétrole
 sonia
Mercredi 16 Janvier 2013

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@jodeph Vazquez
pour augmenter la sympathie vis à vis de l'Islam il serait bien que l'Islam en France change de stratégie. Au lieu de militer pour le hallal et provoquer ainsi des incomprehensions comme celle que vous détaillez il faudrait mieux demander l'application des aspects de la sharia les plus agréables aux non-musulmans. Pourquoi ne pas mettre en lumière les punitions vis à vis des voleurs par exemple? Imaginez ce que les non-muslmans penseraient si les voleurs de religion musulmane avait les extremités coupées? Si en plus de cela on supprimait la halal existant (celui qui n'existe pas comme vous l'avez rappelé et donc qui ne nous coute rien de supprimer) alors vous imaginez l'armonie?
 Hassan
Mercredi 16 Janvier 2013

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Le halal c'est la preuve de la supériorité du musulman sur le koufar! Le koufar doit être égorgé à vif pour l'honneur d'Allah! Supprimons tous les mangeurs de porc, koufers, roumis et autres chiens, pour faire de l'Europe une terre d'Islam!
 sonia
Mercredi 16 Janvier 2013

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Si on part du principe qu'un bon musulman ne vole pas, pourquoi est ce dans le Coran? Vous voulez dire qu'il y a des erreurs dans le Coran? En plsu je n'ai jamais parlé d'appliquer cet aspect de la sharia aux non-musulmans, cela serait contre productif, mais bien aux musulmans. Chacun d'entre eux irait se déclarer librement à la préfécture et en conséquence subirait les peines en cas de vol. Cela renforcerait la moralité de la communauté et son image (bien sur plus d'allocations handicap pour les fautifs).
 Edomar
Jeudi 17 Janvier 2013

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Contrairement à ce que certains veulent faire croire, le refus de l'abattage "traditionnel" tient en deux concepts :
- la souffrance de l'animal pendant de longues minutes ;
- les risques sanitaires reconnus par la médecine vétérinaire.
Il n'y a dans ces concepts aucune mise en cause d’une quelconque religion le prônant.
La seule chose que demande le consommateur est d’être informé sur le type d’abattage pratiqué sur la bête dont il mange la viande. Et savoir ce que l’on met dans son assiette est la moindre des choses, au même titre que les produits contenant des OGM.
 Juvénal
Jeudi 17 Janvier 2013

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pourquoi cette censure, occulter le débat et...on ne comprend plus...

HALLAL UN RACISME DISSIMULÉ

L’astuce de présenter les interdits alimentaires comme une émanation d’une volonté supérieure est observée aussi bien dans l’Ancien Testament que dans le Coran. Affirmer plus franchement que ces prescriptions ont pour seule finalité l’enfermement du croyant dans une norme culpabilisante où, à chaque instant, celui-ci craint l’égarement, aurait vu la diffusion des sectes monothéistes beaucoup moins couronnée de succès. Le judaïsme a réalisé un travail pesant dans la distinction entre le licite et l’illicite dans le Pentateuque et l’islam se contentera d’en reprendre une bonne partie. Mille quatre cents ans après l’invention de l’islam par un chamelier analphabète reconverti en chef de bande, les phobies alimentaires demeurent toujours extrêmement prégnantes dans le monde musulman. L’obsession du halal devient même une mode aux allures revendicatrices chez de nombreux jeunes musulmans : exécrer le porc devient un symbole de vertu alors que n’importe quel bon vivant non frustré par une religion castratrice s’égaillera à l’idée que “dans le cochon tout est bon“. Quel consommateur non halal ne s’est jamais senti insulté ou méprisé quand un obsédé du halal affiche son dégoût du porc ? Lorsqu’un fanatique des interdits coraniques demande, inquisiteur, la composition précise du met qui lui est aimablement proposée, comment ne pas être vexé par cette suspicion qui se porte aussi sur celui qui offre ? Spécificité culturelle ou progression rampante d’une idéologie de rejet ? Ce que les pleutres acceptent comme une prétendue spécificité culturelle (la véritable culture n’enferme pas l’individu) est en fait la progression rampante d’une idéologie de rejet de la différence. Récemment, une campagne d’affichage d’Isla Délice pour la promotion des produits halal montre divers animaux clamant qu’ils sont “fièrement halal“. Quand on sait que ces bestioles finiront égorgées par un mystique persuadé qu’Allah tient son couteau, on mesure mieux le caractère provocateur de cette campagne dont le slogan décrypté serait plutôt : “le halal est l’étendard de l’islam“. Ce qui, incidemment, montre aussi que les amateurs de halal sont encore loin d’avoir pris conscience de la nature barbare et archaïque du rituel imposé. Le concept de nourriture halal ne se limite pas à la distinction, qu’on pourrait juger anecdotique ou simplement gastronomique, entre les aliments autorisés et ceux interdits. Opposer le halal au haram relève de la même phobie de l’altérité qui a poussé l’islam à scinder le monde en deux parts, le monde de l’islam et le monde de la guerre. C’est l’un ou l’autre, sans zone alternative où les non musulmans pourraient vivre en paix. L’obsession de la nourriture halal est celle du pur face à l’impur, du fidèle face à l’infidèle, de l’élu face au mécréant. La dichotomie du “comme moi ou différent de moi” est en fait celle du “avec moi ou contre moi” qui constitue un très efficace facteur de haine et de guerre. L’obsession de la nourriture halal est celle du pur face à l’impur, du fidèle face à l’infidèle, de l’élu face au mécréant. Dans le verbiage islamique qui se repaît de nourriture “autorisée“, le non musulman est à l’image des mets qu’il consomme : un impur. On sait, depuis la Bible, que l’impureté se transmet par contact : le texte assène que, lors des règles, l’impureté de la femme dure une semaine et se transmet à quiconque la touche ainsi qu’au lit ou au siège qu’elle utilise et à tous ceux qui touchent ce lit ou ce siège (Lévitique, 15.19-30). Comme l’islam se réclame du mythe abrahamique, la sentence vaut donc aussi pour lui : on comprend bien que quiconque aura ingéré un aliment déclaré impur sera, physiquement, lui aussi affecté par la souillure. Une saucisse de Toulouse accompagnée par un Cahors, quelques huîtres non égorgées en direction de La Mecque aux côtés d’un Jurançon ou le foie gras d’un canard tué sans l’invocation d’Allah et c’est l’assurance d’être relégué dans l’infamant statut des koufar face aux pieux croyants, immaculés et purs par la seule vertu de leur nourriture. Personne d’autre que ces derniers ne montre autant d’empressement à examiner la liste complète des ingrédients d’un yaourt aux fraises pour s’assurer que n’y figure aucun émulsifiant d’origine animale, aucun colorant à base de cochenille, aucune gelée de porc, aucun alcool. L’infidèle qui n’a que faire des phobies alimentaires musulmanes n’est qu’un sous-individu que le Coran sait accabler dans d’innombrables versets de haine et de mépris. Et scinder l’humanité entre des individus purs et supérieurs et d’autres impurs et inférieurs a un nom : le racisme.

 Juvénal
Jeudi 17 Janvier 2013

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Sylvie Goy-Chavent, sénatrice de l’Ain (UDI), demande au Président de la République d’interdire l’abattage rituel au nom des principes républicains. Elle présente une proposition de loi visant la viande halal.
La sénatrice de l’Ain et maire de Cerdon, Sylvie Goy-Chavent (UDI), a demandé au président François Hollande l’interdiction de l’abattage rituel, dans un appel publié sur une pleine page du quotidien Le Parisien. « Je vous demande, Monsieur le président, l’interdiction de tout abattage sans étourdissement préalable », écrit Sylvie Goy-Chavent.
Elle dénonce explicitement la viande halal qui « approvisionne les cantines, les restaurants, les hypermarchés, sans aucune information au consommateur, présente un risque pour la santé et finance certains cultes au mépris des principes républicains de laïcité ». La sénatrice rappelle les propos du président français sur la présence de viande halal dans les écoles. « Sous ma présidence, rien ne sera toléré en termes de présence de viande halal dans les cantines de nos écoles! », avait dit M. Hollande le 2 mai 2012 sur TF1, rappelle-t-elle.
Sylvie Goy Chavent,qui siége au Sénat au groupe de l’Union des Démocartes et Indépendants, a présenté mardi une proposition de loi spécifiant que « préalablement à leur abattage et afin de leur épargner toute souffrance évitable, les animaux doivent obligatoirement être insensibilisés et rendus inconscients par l’une des méthodes d’étourdissement prévues ».
La Fondation Brigitte Bardot et d’autres associations avaient lancé en janvier 2011 une campagne d’affichage contre l’abattage rituel des animaux. En mars 2011, l’ancienne actrice avait dénoncé sur une page du même quotidien le « supplice » des animaux soumis à l’abattage rituel dans des « conditions de violence et d’inhumanité abjectes » qui concernerait « 100% des bêtes en Ile-de-France ».
 Kari
Jeudi 17 Janvier 2013

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Encore une fois des racistes ou plutôt anti-islam ? Dans vos commentaire (sonia, jopa,)je mange halah je ne porte pas le voile, je fais ma prière et chacun fais comme il veut, mes parents mon apprit la religion de l amour celle de l'islam et je m'aperçois qu'on fait beaucoup de polémique sur notre religion pour la salir ! Pourquoi ne pas débattre sural religion. Juif , le casher ou encore l'école qui ferme le samedi pour leur permettre d'aller à. La synagogue, ou encore leur port de chapeau et kipa etc.. Je ne suis pas la pour manifester mon désaccord sur certaine religion mais pour dire qu'au facho de se taire car nous musulman ont nenmerde personne c'est plutôt à vous ignorant et. Facho qui emmerder les musulman et sachez que la casi viande halah provient de l'Europe et comme sa rapport de l'argent (même pour le dirigeant disladelice qui lui même d'origine juif ) qui l'ont bien comprit s'arrache le marche alors dites nous merci pour l'économie. Vous avez eu besoin des étrangers d'origine musulman mais lorsque nous avons imposer nos traditions seulement et nos coutumes cela vous rends malade surtout si ont fait des études et qu'on arrives à un poste de direction c'est la jalousie assurée et je parle en connaissance, de cause. Soyez rassure notre butes n'ai pas de rendre la France islamique mais tolérantes ! Prenez exemple sur l'Angleterre.
 ronron
Jeudi 17 Janvier 2013

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« L'intégration doit-elle passer par le saucisson et le pinard ? », s’interroge alors le CCIF, qui « invite les médias à adopter une attitude plus professionnelle et plus responsable, à apaiser plutôt qu'attiser, à rassembler plutôt que diviser ».

C'est curieux quand on regarde vraiment son interlocuteur bien en face. C'est alors qu'on peut se demander si ce n'est pas soi-même qui attise et divise plutôt que rassemble... Toute la différence entre esprit communautariste et respect de la neutralité...
 Edomar
Jeudi 17 Janvier 2013

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@Kari (commentaire n° 22)
«… surtout si ont fait des études et qu'on arrive[s] à un poste de direction c'est la jalousie assurée et je parle en connaissance[,] de cause.»

Avec vos fautes d’orthographe et de grammaire dignes d’un CE1 :

"… je mange halah [halal] je ne porte pas le voile, je fais ma prière et chacun fais[t] comme il veut, mes parents mon[m’on] apprit[appris] la religion de l amour[l’amour] …" ;

vous avez obtenu un poste de Direction ? Grâce à la discrimination positive ?
Je comprends que certain(e)s soient jaloux.
 Mohamed
Vendredi 18 Janvier 2013

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Bismillah

Il est un fait établi que cela n'est pas la premiere fois qu'une telle une portant sur l'Islam est diffusée.

N'est-ce pas Le Point qui (si je ne m'abuse apres le 1e tour des élections Algériennes de 1990) apres la victoire du FIS au 1e tour avait titré : "L'Algérie, la guerre saint a nos portes"

Fi aman illah

Wa as salam alaykoum wr wb
 aurélie92
Samedi 19 Janvier 2013

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«S'il est bien fait, l'abattage rituel n'est pas inhumain», affirme Joe Regenstein, professeur de sciences des aliments à l'Université Cornell. Joint hier par La Presse, l'expert a contredit l'ex-député péquiste André Simard, selon qui l'abattage halal, réalisé sans insensibilisation préalable de l'animal, heurte les valeurs des Québécois.

Au contraire, l'abattage religieux est probablement le plus humain de tous, estime M. Regenstein. S'il est pratiqué à la main, sans stress, en faisant perdre connaissance à l'animal le plus rapidement possible.

«Je pense que la plupart des critiques qui remettent en question le bien-être des animaux au moment de l'abattage religieux se basent sur de mauvaises données scientifiques ou sur des considérations politiques, sans rapport avec le bien-être animal», dit le professeur.


La suite à découvrir ici :
http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/national/201210/23/01-4586360-labattage-religieux-nest-pas-inhumain-selon-un-expert.php
 Juvénal
Dimanche 20 Janvier 2013

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Se prévaloir de Regenstein, professeur juif de Cornell Bigre! pour justifier le hallal ! Quelle neutralité.! Un plaidoyer pro domo ! Vous demanderiez au bourreau s'il est contre la peine de mort !