Voici des émissions qui font plaisir. Nous avons besoin des pédaguogues telle que Hiba Qotb pour servir convenablement l’islam. De nouvelles études pour de nouveaux contextes. Je me trouvais justement en difficulté avec l’hebdomadaire marocain Telquel dans son numéro 284, l’article de Nadia Lamlili : la verginité est-ce toujours un tabou? Ayant trouvé que l’article et les commentaires laissent tant à désirer, j’ai immédiatement réactionné. Mon message a été catégoriquement rejeté. Ils n’acceptent que les textes de leur convenane qui gorifie la débauche et ce dans une terre d’islam. Je vous retransmis ci-dessous le commentaire rejeté:


Apres avoir lu l’article et les commentaires, je me demande encore si vous prônez ou condamner la liberté sexuelle. Le livre du marquis de Sade m’a fait horreur d’autant plus qu’à notre époque, je constate que la prophétie de ce matérialiste athée se réalise à plus de cent pour cent. La nudité et les parties intimes de la femme n’ont plus de secret même sur la voie publique. Ni le cinéma, ni les antennes, ni les magazines ne sont préservés et mêmes les écoles primaires où des préservatifs sont distribuées à titre gracieux. Nous continuons à étendre et occuper nos esprits par le plaisir de la chair comme si nos efforts n’ont un sens que pour cet objectif. Aucune leçon tirée de la perversion sociale, les maladies vénériennes ou le sida. Notre jeunesse a besoin d’éducation sexuelle d’autant plus que nos enfants à cause des médias de masse et la publicité ouvrent les yeux sur la nudité. Des relations entre hommes et femmes sont devenues actes normaux pour les jeunes même sur la voie publique. Nous ne savons ce qui se passe dans leur esprit et quel avenir ils nous réservent car les parents déclinent de plus en plus leur responsabilité. Il est temps et loisir que nos pédagogues prennent au sérieux les problèmes qui se posent avec acuité dans le Royaume. Autrement, inspirés par l’occident comme toujours, nous gravitons sciemment ou non, de la société de sexe tout court à la société des orgies où, tels les animaux, l’être n’aura plus de respect ni pour sa mère et sœur ni pour la voisine avec tous les conséquences que ces comportements contre nature entraînent.