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Théorie du genre : le débat qui éclipse les problèmes majeurs de l'école

 Oummi
Mercredi 26 Février 2014

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Salam alaykoum
Merci infiniment pour votre éclairage, je me retrouve dans votre postionnement (enfin !) et je vais de suite visiter votre site internet.
Bonne continuation
 mum
Dimanche 2 Mars 2014

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salam alekom,si on laisse faire comme si de rien n'était ce que vous considérez comme un faux probleme en deviendra un vrai,,un enfant est fragile et lui faire entendre des l'age de trois ans qu'il peut ne pas etre ce qu'il est c'est le deconstruire avant meme qu'il ne se soit construit,je ne trouve pas que farida occulte les autres problemes de l'ecole,au contraire elle souleve que l'etat ferait mieux de s'en occuper que de vouloir s'occuper de questions destructrices et non constructrices...soyons solidaires des jre,montrons que nous nous soucions de l'education de nos enfants et pas seulement de leur instruction..et n'ayons pas peur de paraitre homophobles,il y a une difference entre dire "je n'ai rien contre l'homosexualité et toute personne a droit au respect " et dire "mon enfant tu peux etre un garcon si tu es une fille et inversement,",il y a lutte antidiscrimination et proselytisme a l'homosexualité...
 inser
Lundi 3 Mars 2014

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C 'est à juste titre que les parents, dont ceux de confession musulmane , se méfient de l'école.
Les études de genre inspirent les enseignements et ce dès la maternelle .

Voici un élément qui le confirme :



Parler d’homoparentalité, et pourquoi pas ?

Dans sa classe de maternelle, Nina Palacio aborde le sujet de l’homoparentalité à travers la lecture d’un album. « Et pourquoi pas ? » est devenue la question qui interroge les stéréotypes.

La couverture de l’album est a priori sans équivoque : un bébé manchot sur lequel deux manchots adultes se penchent et portent un regard tendre. La première hypothèse des élèves de moyenne et grande sections de Saint-Florentin dans l’Yonne est qu’il s’agit d’un papa, d’une maman et de leur bébé. Quand la maîtresse, Nina Palacio, dévoile la première partie du titre de l’album « Tango a deux papas, et pourquoi pas ? », quelques rires fusent accompagnés de « ce n’est pas possible ! ». La seconde partie du titre invite alors à ne pas en rester là et à entrer dans le questionnement.
La suite :
http://www.snuipp.fr/Parler-d-homoparentalite-et