Sur le vif
Jean-Luc Mélenchon a affirmé, jeudi 25 novembre, être « excédé » du traitement que subissent actuellement les musulmans en France « sur toutes les tribunes » dans le cadre d’un débat organisé par BFM TV avec le candidat à l’élection présidentielle, deux mois après un débat sur la même chaîne l'amenant à être confronté à Eric Zemmour, un homme qui « se comporte comme un antisémite » à ses yeux.
« La vérité est que, depuis des années, on ne cesse d’insulter les musulmans, qu’on ne cesse de me reprocher d’avoir participé à une manifestation à laquelle je suis fier d’avoir été » en évoquant la manifestation contre l'islamophobie organisée en novembre 2019.
« Nous étions dans la rue avec la CGT, la FSU, Attac parce que de pauvres gens sortant d’une mosquée avaient reçus un coup de fusil d’un ancien candidat du Front National (en référence à l’attaque subie par la mosquée de Bayonne, ndlr). Et il y a eu une manifestation qui s’est terminée en chantant la Marseillaise », a-t-il raconté. « Je suis fier d’y avoir été et si elle avait lieu de nouveau, j’y retournerai. Et ce n’est pas parce qu’un ou deux olibrius y ont dit des choses qu’ils n’avaient pas à dire que je le regrette. »
« Les musulmans de France n’ont jamais manqué à la France, ni à Monte Cassino, ni au débarquement de Provence. Eux, ils n’ont jamais manqué à la France alors que bon nombre de ceux qui leur font des leçons aujourd’hui ont manqué à la France à d’autres générations », a estimé le leader de la France insoumise, en référence aux événements survenus pendant la Seconde Guerre mondiale.
« Il va falloir qu’on vive tous ensemble, quelle que soit notre religion. (…) Ce qui nuira le plus à la France, ce sont les haines religieuses. Alors les radicaux m’insupportent au plus haut degré. »
« La vérité est que, depuis des années, on ne cesse d’insulter les musulmans, qu’on ne cesse de me reprocher d’avoir participé à une manifestation à laquelle je suis fier d’avoir été » en évoquant la manifestation contre l'islamophobie organisée en novembre 2019.
« Nous étions dans la rue avec la CGT, la FSU, Attac parce que de pauvres gens sortant d’une mosquée avaient reçus un coup de fusil d’un ancien candidat du Front National (en référence à l’attaque subie par la mosquée de Bayonne, ndlr). Et il y a eu une manifestation qui s’est terminée en chantant la Marseillaise », a-t-il raconté. « Je suis fier d’y avoir été et si elle avait lieu de nouveau, j’y retournerai. Et ce n’est pas parce qu’un ou deux olibrius y ont dit des choses qu’ils n’avaient pas à dire que je le regrette. »
« Les musulmans de France n’ont jamais manqué à la France, ni à Monte Cassino, ni au débarquement de Provence. Eux, ils n’ont jamais manqué à la France alors que bon nombre de ceux qui leur font des leçons aujourd’hui ont manqué à la France à d’autres générations », a estimé le leader de la France insoumise, en référence aux événements survenus pendant la Seconde Guerre mondiale.
« Il va falloir qu’on vive tous ensemble, quelle que soit notre religion. (…) Ce qui nuira le plus à la France, ce sont les haines religieuses. Alors les radicaux m’insupportent au plus haut degré. »
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