Parviendra-t-on à une trêve dans la bande de Gaza pour le mois du Ramadan ? C’est l’espoir de millions de Palestiniens et de leurs alliés face à la répression sans précédent de l’armée israélienne engagée depuis des mois contre l’enclave palestinienne.
En Cisjordanie, les tensions sont ravivées au point où le gouvernement israélien songeait à interdire l’accès à l’esplanade des Mosquées, à Jérusalem, aux Palestiniens pendant le mois de jeûne. Une décision réclamée par le ministre de la Sécurité nationale Itamar Ben Gvir mais qui aurait pu déclencher un vent de colère dans le territoire occupé comme dans le monde musulman.
Ce ne devrait pas être le cas. Les autorités israéliennes ont annoncé, mardi 5 mars, que les musulmans seront autorisés à prier dans le lieu saint, « dans le même nombre que les années précédentes » durant le Ramadan, ceci pour « garantir la liberté de culte au mont du Temple », selon le bureau du Premier ministre Benjamin Netanyahou. Des dizaines de milliers de fidèles y affluent chaque année pour multiplier les prières, particulièrement les soirs du Ramadan. Une période qui sera sous le signe du deuil pour les Gazaouis, qui enregistrent plus de 30 000 morts et des dizaines de milliers de blessés.
Les appels au cessez-le feu continuent d’être lancés de toute part. Les Etats-Unis, dont le soutien apporté à l’offensive sanglante menée par Israël est vivement critiqué par une partie de l’électorat de Joe Biden, a appelé au cessez-le-feu, tout en mettant la balle dans le camp du Hamas.
« Nous avons l'occasion (de parvenir à) un cessez-le-feu immédiat qui pourrait ramener des otages chez eux, permettre une hausse considérable de l'aide humanitaire (...) et qui pourrait ensuite également créer les conditions d'une résolution durable » du conflit, a déclaré, mardi 5 mars, le secrétaire d’Etat américain Antony Blinken. Les négociations entre le Hamas et les médiateurs que sont l'Égypte, le Qatar et les États-Unis ont lieu au Caire depuis dimanche 3 mars en l’absence d’Israël, qui refuse d’y participer.
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Ce ne devrait pas être le cas. Les autorités israéliennes ont annoncé, mardi 5 mars, que les musulmans seront autorisés à prier dans le lieu saint, « dans le même nombre que les années précédentes » durant le Ramadan, ceci pour « garantir la liberté de culte au mont du Temple », selon le bureau du Premier ministre Benjamin Netanyahou. Des dizaines de milliers de fidèles y affluent chaque année pour multiplier les prières, particulièrement les soirs du Ramadan. Une période qui sera sous le signe du deuil pour les Gazaouis, qui enregistrent plus de 30 000 morts et des dizaines de milliers de blessés.
Les appels au cessez-le feu continuent d’être lancés de toute part. Les Etats-Unis, dont le soutien apporté à l’offensive sanglante menée par Israël est vivement critiqué par une partie de l’électorat de Joe Biden, a appelé au cessez-le-feu, tout en mettant la balle dans le camp du Hamas.
« Nous avons l'occasion (de parvenir à) un cessez-le-feu immédiat qui pourrait ramener des otages chez eux, permettre une hausse considérable de l'aide humanitaire (...) et qui pourrait ensuite également créer les conditions d'une résolution durable » du conflit, a déclaré, mardi 5 mars, le secrétaire d’Etat américain Antony Blinken. Les négociations entre le Hamas et les médiateurs que sont l'Égypte, le Qatar et les États-Unis ont lieu au Caire depuis dimanche 3 mars en l’absence d’Israël, qui refuse d’y participer.
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