Le bilan humain du séisme au Maroc est toujours provisoire en date du mardi 12 septembre. Près de 2900 personnes sont décédées parmi lesquelles quatre Français. On y trouve Younes Boukhtam et Samira Ghanmi, un jeune couple originaire de Meaux, en Seine-et-Marne, tué dans l’écroulement d’une maison près de Marrakech. Mariés depuis quelques jours, ils étaient en voyage de noces lorsque le drame est survenu. Ils ont été enterrés lundi 11 septembre au Maroc dont ils sont tous deux originaires.
Younes Boukhtam, 26 ans, et Samira Ghanmi, 22 ans, étaient bénévoles au Centre islamique Al-Badr, à Meaux. C’est tout naturellement que les responsables du lieu de culte leur rendent hommage aux deux victimes du tremblement de terre. « Ils ont donné de leur temps et leur énergie pour la satisfaction d'Allah », a-t-on fait savoir dimanche 10 septembre. « Aujourd'hui, ils sont dans leur dernière demeure. Il était tous deux de bonne moralité, fréquentait assidûment la mosquée. Nous tenons à présenter nos sincères condoléances à la famille. Nous vous accompagnons dans votre douleur. »
Radoine Khorchi, le président de l’Association islamique cultuelle et culturelle de Meaux, a réagi sur RTL lundi 11 septembre. La nouvelle « nous a beaucoup affectés. On a versé énormément de larmes parce que l’on connait les familles, on connait ces deux jeunes. C’était deux bénévoles très investis. Ils avaient tout le temps le sourire, (…) toujours disponibles et au service de l’humanité », a-t-il déclaré.
« A Meaux, nous avons été douloureusement frappés par la disparition de ce jeune couple de meldois », a signifié le maire de la ville, Jean-François Copé. « Je pense à leurs proches et tout particulièrement à leur père, et beau-père qui travaille dans notre municipalité et à qui je veux adresser, au nom de l’ensemble de notre ville, mes pensées les plus attristées et mes vœux de courage pour affronter cette si douloureuse épreuve. Nous allons, dans les prochains jours, regarder avec les autorités la manière d’être le plus utile dans l’aide que nous pourrons apporter à celles et ceux durablement éprouvés par cette tragédie. »
La mosquée organise, pour sa part, une grande collecte financière, et uniquement financière, « en attendant de connaître (les) besoins réels » des populations locales durant toute la semaine du 11 au 17 septembre.
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Younes Boukhtam, 26 ans, et Samira Ghanmi, 22 ans, étaient bénévoles au Centre islamique Al-Badr, à Meaux. C’est tout naturellement que les responsables du lieu de culte leur rendent hommage aux deux victimes du tremblement de terre. « Ils ont donné de leur temps et leur énergie pour la satisfaction d'Allah », a-t-on fait savoir dimanche 10 septembre. « Aujourd'hui, ils sont dans leur dernière demeure. Il était tous deux de bonne moralité, fréquentait assidûment la mosquée. Nous tenons à présenter nos sincères condoléances à la famille. Nous vous accompagnons dans votre douleur. »
Radoine Khorchi, le président de l’Association islamique cultuelle et culturelle de Meaux, a réagi sur RTL lundi 11 septembre. La nouvelle « nous a beaucoup affectés. On a versé énormément de larmes parce que l’on connait les familles, on connait ces deux jeunes. C’était deux bénévoles très investis. Ils avaient tout le temps le sourire, (…) toujours disponibles et au service de l’humanité », a-t-il déclaré.
« A Meaux, nous avons été douloureusement frappés par la disparition de ce jeune couple de meldois », a signifié le maire de la ville, Jean-François Copé. « Je pense à leurs proches et tout particulièrement à leur père, et beau-père qui travaille dans notre municipalité et à qui je veux adresser, au nom de l’ensemble de notre ville, mes pensées les plus attristées et mes vœux de courage pour affronter cette si douloureuse épreuve. Nous allons, dans les prochains jours, regarder avec les autorités la manière d’être le plus utile dans l’aide que nous pourrons apporter à celles et ceux durablement éprouvés par cette tragédie. »
La mosquée organise, pour sa part, une grande collecte financière, et uniquement financière, « en attendant de connaître (les) besoins réels » des populations locales durant toute la semaine du 11 au 17 septembre.
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