Sur le vif
W(e)Talk veut promouvoir « le développement du pouvoir d'agir des femmes dans leur pluralité ». Fondée en 2014, cette association proposait des rencontres pour mettre à l’honneur des femmes de divers horizons qui réussissent, des rendez-vous de l'empowerment au féminin.
Cette année, l’association porte un tout autre projet : une aventure sous la forme d’un trek en haute montagne par quatre femmes qui ont choisi de joindre l’utile à l’agréable. La montagne qu'elles ont choisi de gravir n'est rien de moins que le plus haut sommet d'Afrique, le Kilimandjaro, en Tanzanie, dont le point culmine à 5 895 mètres d'altitude. Décidées à entreprendre une ascension ensemble, elles ont lancé « Trek4Good, des femmes en mouvement pour une éducation et une santé inclusives ». Avec cette première marche « vers et pour un monde plus équitable », elles souhaitent financer, à travers une campagne de crowdfunding, deux « bootcamps » en France et au Maroc réunissant « au moins 100 jeunes femmes en situation de vulnérabilité et ainsi partager les valeurs qu’elles défendent : transmission, résilience, audace, courage, éco-citoyenneté ».
« L’idée n’est pas nouvelle, précise auprès de Saphirnews Nathalie Bondetti Lafrie, co-fondatrice de W(e) Talk. L’une d’entre nous, Bouchera Baibanou, organise déjà des bootcamps au Maroc avec sa structure Delta Evasion. Quant à W(e) Talk, nous avons déjà organisé des ateliers participatifs sur le pouvoir d’agir au féminin à Paris et à Villeurbanne. Là, nous ambitionnons de toucher une centaine de femmes en France durant la première semaine d’octobre 2023. » De même qu'au Maroc en juillet 2023.
Cette année, l’association porte un tout autre projet : une aventure sous la forme d’un trek en haute montagne par quatre femmes qui ont choisi de joindre l’utile à l’agréable. La montagne qu'elles ont choisi de gravir n'est rien de moins que le plus haut sommet d'Afrique, le Kilimandjaro, en Tanzanie, dont le point culmine à 5 895 mètres d'altitude. Décidées à entreprendre une ascension ensemble, elles ont lancé « Trek4Good, des femmes en mouvement pour une éducation et une santé inclusives ». Avec cette première marche « vers et pour un monde plus équitable », elles souhaitent financer, à travers une campagne de crowdfunding, deux « bootcamps » en France et au Maroc réunissant « au moins 100 jeunes femmes en situation de vulnérabilité et ainsi partager les valeurs qu’elles défendent : transmission, résilience, audace, courage, éco-citoyenneté ».
« L’idée n’est pas nouvelle, précise auprès de Saphirnews Nathalie Bondetti Lafrie, co-fondatrice de W(e) Talk. L’une d’entre nous, Bouchera Baibanou, organise déjà des bootcamps au Maroc avec sa structure Delta Evasion. Quant à W(e) Talk, nous avons déjà organisé des ateliers participatifs sur le pouvoir d’agir au féminin à Paris et à Villeurbanne. Là, nous ambitionnons de toucher une centaine de femmes en France durant la première semaine d’octobre 2023. » De même qu'au Maroc en juillet 2023.
Un mouvement sportif et solidaire au service de l'inclusion
L’ascension du Kilimandjaro sera financée par les participantes elles-mêmes et les dons seront intégralement utilisés pour financer les bootcamps. Reste à susciter l'intérêt du public pour trouver les moyens de financer l'initiative. Le rendez-vous est donné « le 9 février au sommet du Kilimandjaro au profit de l’empowerment de 100 jeunes filles en France et au Maroc ». L'ascension, appelée à débuter dimanche 5 février, devrait donc prendre cinq jours.
Les quatre femmes qui lancent cette invitation sont visiblement des battantes, à commencer par l'ingénieure et alpiniste Bouchera Baibanou, la première Marocaine à avoir déjà gravi l’Everest en 2017 et la première de son pays à boucler le défi des sept sommets consistant à gravir les montagnes les plus élevées des sept continents (Everest, Aconcagua, McKinley, Kilimandjaro, Elbrouz, Vinson, Pyramide de Carstensz). Outre Nathalie Bondetti Lafrie, figurent dans l'aventure Linda Benkacem, consultante en marketing digital, et Nadia Hathroubi-Safsaf, journaliste et auteure.
« Dans les bootcamps, nous proposerons à des jeunes filles de 14 à 21 ans, sélectionnées avec des partenaires institutionnels qui travaillent dans les quartiers politique de la ville (QPV), de participer à des balades pour se connecter à la nature, à des activités sportives comme la boxe ou le foot et à des ateliers d’intelligence collective pour développer ses capacités à travailler ensemble sur un projet en partageant ses connaissances. Il y aura aussi des ateliers de développement personnel pour apprendre à s’exprimer en public », précise Nathalie Bondetti Lafrie.
Sur les 30 000 euros que W(e) Talk espère collecter pour la première édition, ce sont un peu plus de 10 000 euros qui ont jusqu'ici été réunis jusqu'ici. Pour les initiatrices de Trek4Good, « le trek est une voie de dépassement de soi, de sororité et de fraternité extraordinaire ». A travers l'organisation de treks annuels en France et à l’étranger, le collectif entend mettre en lumière « tout projet associatif qui s’ancre dans une démarche d’inclusion des enfants et des jeunes comme parties prenantes de sociétés respectueuses du vivant ».
Lire aussi :
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W(e) Talk, des réussites de femmes plurielles à l'honneur
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« Dans les bootcamps, nous proposerons à des jeunes filles de 14 à 21 ans, sélectionnées avec des partenaires institutionnels qui travaillent dans les quartiers politique de la ville (QPV), de participer à des balades pour se connecter à la nature, à des activités sportives comme la boxe ou le foot et à des ateliers d’intelligence collective pour développer ses capacités à travailler ensemble sur un projet en partageant ses connaissances. Il y aura aussi des ateliers de développement personnel pour apprendre à s’exprimer en public », précise Nathalie Bondetti Lafrie.
Sur les 30 000 euros que W(e) Talk espère collecter pour la première édition, ce sont un peu plus de 10 000 euros qui ont jusqu'ici été réunis jusqu'ici. Pour les initiatrices de Trek4Good, « le trek est une voie de dépassement de soi, de sororité et de fraternité extraordinaire ». A travers l'organisation de treks annuels en France et à l’étranger, le collectif entend mettre en lumière « tout projet associatif qui s’ancre dans une démarche d’inclusion des enfants et des jeunes comme parties prenantes de sociétés respectueuses du vivant ».
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