Le Premier ministre français Dominique de Villepin a annoncé vendredi à Dzaoudzi que "les moyens de lutte anti-vectorielle seront augmentés si nécessaire" dans les mois qui viennent à Mayotte, dans le cadre de la lutte contre l'épidémie de chikungunya, qui a touché plus du quart de la population de l'île (45.000 personnes) depuis janvier. Contrairement à la veille, lors de sa visite à la Réunion, également touchée par le virus, le chef du gouvernement n'a annoncé aucune dotation chiffrée.
Il a demandé à ce que "l'une des priorités de l'action de l'Etat pour les années à venir soit la généralisation d'un système de ramassage et de traitement des ordures ménagères sur tout le territoire de Mayotte". "De gros efforts ont déjà été entrepris, avec l'enlèvement de plusieurs centaines de carcasses de voitures, et de plus de 110 tonnes de déchets encombrants", a-t-il déclaré lors d'un discours télévisé. "L'Etat continuera son travail en collaboration avec la collectivité départementale et les communes".
Dominique de Villepin a en outre assuré que le dispositif d'aide aux entreprises mahoraises confrontées à une baisse de résultat du fait du chikungunya sera maintenu "aussi longtemps que nécessaire". Ce dispositif concerne essentiellement les entreprises touristiques, auxquelles, selon le Premier ministre, il s'agit "de prêter la plus grande attention".
Il a demandé à ce que "l'une des priorités de l'action de l'Etat pour les années à venir soit la généralisation d'un système de ramassage et de traitement des ordures ménagères sur tout le territoire de Mayotte". "De gros efforts ont déjà été entrepris, avec l'enlèvement de plusieurs centaines de carcasses de voitures, et de plus de 110 tonnes de déchets encombrants", a-t-il déclaré lors d'un discours télévisé. "L'Etat continuera son travail en collaboration avec la collectivité départementale et les communes".
Dominique de Villepin a en outre assuré que le dispositif d'aide aux entreprises mahoraises confrontées à une baisse de résultat du fait du chikungunya sera maintenu "aussi longtemps que nécessaire". Ce dispositif concerne essentiellement les entreprises touristiques, auxquelles, selon le Premier ministre, il s'agit "de prêter la plus grande attention".