Connectez-vous S'inscrire

Je n’aime plus l’Aïd al-Adha

 Leila
Vendredi 26 Octobre 2012

Notez Version imprimable
[Ignorer]
Salam alaykoum, l'aid aladha est une fête religieuse et le sacrifice est avant tout un acte d'adoration , toute personne pouvant égorger (qui a les moyens) est dans l'obligation de le faire pour ALLAH et ce qu'elle que soit le pays ou on se trouve.
 Leila
Vendredi 26 Octobre 2012

Notez Version imprimable
[Ignorer]
Il faut arrêter avec cette nouvelle mode de vouloir changer l'islam parceque on est en France soubhana ALLAH , il est le clairvoyant et il passe avant tout et tout le monde, et oui même avant la France, et Ibrahim 3alayhi salam à égorger en offrande
 Leila
Vendredi 26 Octobre 2012

Notez Version imprimable
[Ignorer]
Pour ALLAH, non pas pour faire la fête ou pour manger du mouton, arrêter aussi avec la condition animal lorsque ALLAH dit qu'il faut faire une chose d'une certaine manière, alor il faut le faire point , c lui notre créateur, il sait et on ne sait pas
 ToTo
Vendredi 26 Octobre 2012

Notez Version imprimable
[Ignorer]
J'ai une quesiton .... si jamais en supposant , la race ovine des moutons créature de dieu... venais a disparaitre pour une raison quelconque , la pratique devrais s'adapter non? en clair si il ny avais plus de moutons a egorger probablement que naturellement les pratiquants se rabatteraient sur les chevres mais cela dérogerais au précepte non?
 merzougui
Vendredi 26 Octobre 2012

Notez Version imprimable
[Ignorer]
Salam alaykoum, je partage totalement le sentiment d'Amara
Chez nous, on consomme le mouton (Halal) acheté au supermarché ou chez le boucher ! On vit dans une société moderne, faut évoluer ! C'est ridicule de vivre comme au moyen-âge !
 Fat
Vendredi 26 Octobre 2012

Notez Version imprimable
[Ignorer]
Leila complètement rigide et dogmatique, on ne nous demande pas de devenir des automates fanatiques sans cervelle et imbéciles mais d'ouvrir notre coeur à Dieu. Si tu n'ouvres pas ton coeur, appliquer les règles ne servira à rien. Dieu a crée la religion pour l'hommeet l'amener à Lui, et pas l'homme pour la religion et l'en éloigner.

Bon texte Amara, effectivement, il y a une forme de grande indécence, surtout dans les pays riches, à égorger ces moutons en masse, de manière industrielle, et en manger à plus faim, alors même qu'on a déjà de la viande tout les jours.

Dans les temps du Prophète la vie était beaucoup plus simple et égorger un mouton était un événement. La société consumériste et industrielle dénature cela, le rend grossier et désobligeant. Continuer à appliquer certaines pratiques dans ce contexte est déplacé.
 Luc
Vendredi 26 Octobre 2012

Notez Version imprimable
[Ignorer]
Très beau texte qui vise juste.
Les chrétiens ont remplacé les sacrifices par des actes symboliques qui font office d'engagement. C'est peut-être une voie à envisager pour les musulmans.
L'Aïd est de plus en plus mal perçu, en raison, comme l'évoque Amara, du rapport à la souffrance animale. Cette problématique nous concerne tous.
 Pascal
Vendredi 26 Octobre 2012

Notez Version imprimable
[Ignorer]
Merveilleux chemin de Damas...
 de tounens
Vendredi 26 Octobre 2012

Notez Version imprimable
[Ignorer]
bravo pour cet article, vive la liberté d'expression. Ne soyons pas des moutons, on voit où ça mène !!
 eureka
Vendredi 26 Octobre 2012

Notez Version imprimable
[Ignorer]
Bonsoir, je ne suis pas musulman mais j'ai lu des textes où votre prophète semblait attacher de l'importance à la souffrance animale: il abreuve un chien errant dans sa babouche, il punit une femme et lui promet l'enfer pour avoir fait souffrir une chatte, il aime les abeilles, les oiseaux et respectent les sociétés animales comme les fourmis. Il dit que lors du sacrifice il faut que le couteau soit aiguisé hors de la vue de l'animal pour ne pas l'effrayer. Ce qui m'amène à penser que s'il vivait aujourd'hui, il approuverait surement que l'on puisse sacrifier un animal avec des méthodes qui lui évitent les souffrances inutiles et qui peut dire s'il tolérerait encore cet horrible égorgement?
 Aman Twe
Samedi 27 Octobre 2012

Notez Version imprimable
[Ignorer]
Plus ou moins d'accord sur le fond mais sur le forme votre titre est tellement racoleur qu'il à même été repris sur Fdesouche...
 bilel
Samedi 27 Octobre 2012

Notez Version imprimable
[Ignorer]
as salam alékoum je c pas si dans les commentaires se sont des musulman qui parle mais si c le cas c grave leila a tout ta fait raison l autre qui di : et si ya plus de mouton sur terre comment on fait?
ou kan il di comment on aurai fait si on nous avais demander de sacrifier un dromadaire? c des question telment bete que la seul chose que jpe te dire c va apprendre ta religion au lieu d éssayé de propager ton ignorance 2em chose arrété de vouloir resssenblé au chrétien dans vos acte d adoration subrana allah apprenez votre religion sinon taisez vous
 Fouad BAHRI
Samedi 27 Octobre 2012

Notez Version imprimable
[Ignorer]
Adamastor, c'est monsieur Amara Bamba,

Merci Amara pour cette généreuse contribution. Ce que tu pointes du doigt, au-delà de l'Aïd, c'est le fossé abyssal entre la pratique des musulmans de leur religion et la dimension sémantique, symbolique et spirituel de leurs rites, qui sont censés éclairer et guider leur accomplissement. Ton questionnement et la réflexion que tu ouvres me semble salutaire de ce point de vue. Je dirais pourtant qu'en France notamment, la pratique du sacrifice tend à se raréfier du fait de ses complications extrêmes (très peu d'abattoirs, queues sans fins, prix gargantuesques...). Laisse moi te dire que si tu n'aimes plus l'Aïd en ce qui te concerne, il y a pire : y devenir indifférent. Le fait que le sacrifice incarne le rite et que ce sacrifice soit très difficile à accomplir m'a dissuadé depuis longtemps de le faire me contentant comme beaucoup d'un sacrifice de substitution (don humanitaire). Notre religion est devenue un commerce (hajj à 5000 euros, mouton à 300 euros...) pour certains commerçants aux dents longues. Triste sort.
 Cyril
Samedi 27 Octobre 2012

Notez Version imprimable
[Ignorer]
Malheureusement il y a aussi des connes comme cette Leila qui dit qu’il ne faut pas réfléchir par soit même (ce qui est un des piliers de l’islam depuis 1000 ans)
mais puisque Allah dit qu’il faut égorger, ben on égorge, même si on ne mange pas.
L’important c’est l’égorgement.

Une vraie conne celle là…


PS :
« j’ai acheté une traduction en français du Coran. Et j’en ai fait une lecture critique. J’ai éliminé tout d’abord les injonctions racistes, violentes, sexistes, etc. Puis j’ai enlevé les pages contenant uniquement un code civil et pénal opportuniste. Et pour finir, j’ai ignoré tout ce qui est plagiat de la Bible hébraïque et des Évangiles chrétiens, plagiat d’une platitude totale puisqu’il enlevait tout message métaphysique des écrits antérieurs pour ne narrer qu’une histoire erronée et vide de sens.
Et après cette purge, il ne restait plus rien de mon Coran. Pas une once de spiritualité, d’élévation, d’humanité ni même de théologie. Un vide sidéral total. »
Extrait de : Dans l’islam, ni spiritualité ni rationalité, mais soumission et totalitarisme
 Sabrina Mattei
Samedi 27 Octobre 2012

Notez Version imprimable
[Ignorer]
Ce qui me fait doucement rigoler avec ce genre d'article c'est qu'il cherche d'une façon insidieuse à se substituer à une réalité religieuse pluriséculaire en vertu de concept à la portée idéologique très sectorisée d'une part (ce que raconte l'auteur ne peut avoir d'impact que dans la France de 2012 avec tout ce que cela sous tend comme réalité politique sur la question) et faussement subversive d'autre part (comme le dit un proverbe Africain:"même un âne peut donner un coup de pied à un lion mort")
D'un point de vu strictement religieux, ce que l'auteur prétend apporter (implicitement) comme "éclairage" n'est que pure fumisterie, son opinion ne pouvant décemment pas faire autorité en la matière et n'engageant que lui. Le progressisme larvé qu'il prône n'est rien d'autre qu'un faux semblant destiné à dissimuler son ressentiment vis à vis d'un Islam qu'il cherche à adapter à SA conception des choses (que l'état Français soit disant "laïc" encourage de toutes ses forces)
Son propos pourrait un tant soit peu être emprunt d'une certaine pertinence si sa conclusion n'était pas aussi lapidaire envers le dogme lui même.
En outre, nier l'aspect festif de l'aid parce que Monsieur s'est émancipé de sa condition d'enfant privé des meilleurs morceaux en consommant de la bonne bidoche quand il veut, c'est tout simplement avouer à demi mot le narcissisme qui le caractérise.
Hormis l'aspect strictement religieux du sacrifice en lui même, l'Aid est un jour permettant aux familles de se retrouver entre elles, et une occasion de distribuer aux plus démunis la viande qu'eux ne consomment peut être pas (à la différence de l'auteur) tous les jours!
A contrario, A l'heure du tout automatisé, l'individu ,déconnecté d'un écosystème dont il tire sa subsistance quotidienne ne peut plus prendre conscience objectivement du bienfait qui est le sien, à tout intérêt à rétablir ce lien intangible qui jadis l'unissait avec son environnement.
A moins de croire que les steaks poussent dans les arbres, le fait pour le quidam de renouer avec la source ne peut être que bénéfique (n'en serait il pas de même s'il fallait aller chercher l'eau dans un puis au lieu de la tirer tout simplement du robinet?). La supercherie de notre système consiste justement à désolidariser la masse de son terreau d'origine et ce uniquement pour permettre aux intermédiaires de prospérer grassement sur cet état de fait. Combien seraient ils à devenir végétariens ou à reconsidérer leurs positions sur la souffrance animale s'il devaient eux même procéder à l'abatage?

Quand à Cyril...

Vu la subtilité critique que tu manifestes, pas étonnant que certaines choses soient hors de ta portée!
A défaut d'adhérer, la moindre des choses serait quand même de faire preuve d'une once d'humilité face à un texte qui existait bien avant et qui existera bien après la fin de ton insignifiante et misérable existence!
Produis donc un texte similaire qui fasse autant autorité, qui réussisse à transcender les âges et les cultures si tu es aussi fort...
 Fat
Samedi 27 Octobre 2012

Notez Version imprimable
[Ignorer]
Sabrina, avoir un langage aussi châtié pour une pensée aussi primitive, c'est presque de la perversion.

Et je te retourne ta critique de la société moderne, car, encore une fois, quel est le sens d'un égorgement d'animaux en masse, de manière industrielle, alors que déjà les gens mangent beaucoup trop de viande (une ou plusieurs fois par jour !). Jusqu'où un tel cirque est pour toi acceptable ? Ne vois-tu pas la différence abyssale entre la société traditionnelle, peu peuplée, rurale, où le sacrifice se pratiquait, et une société surpeuplée, industrielle ?

Crois-tu vraiment qu'un tel consumérisme grossier et indécent permette d'intégrer le sens profond de cette fête ?
 MN
Samedi 27 Octobre 2012

Notez Version imprimable
[Ignorer]
Assalamou'alaykoum,

Ce n'est pas parce qu'une pratique religieuse est mal effectuée qu'il faut songer à la supprimer. Il conviendrait plutôt de considérer de quelles manières il est possible de corriger les erreurs.
Je rappelle également que pour les quatre écoles juridiques, c'est-à-dire selon le consensus, le sacrifice est au moins au rang de "sunnah mouakkada", autrement dit de "tradition renforcée", juste au-dessous du "fard", l'obligatoire.
A nous donc de trouver les voies adéquates pour préserver la tradition abrahamique et mohammedienne dans sa forme et son esprit. Chaque acte religieux a en effet ses vertus, dans le visible et l'invisible, et en perdre la forme, c'est à terme non seulement en perdre l'esprit, mais encore et tout simplement, en oublier l'existence même.
Regardez dans la Bible, dans la Génèse : il est précisé qu'à plusieurs occasions Abraham (AS) s'est prosterné ; aujourd'hui, les Juifs et les Chrétiens ne pratiquent plus cette tradition que les Musulmans ont conservée et qui marque la soumission à Dieu de tout son être, par le corps, par le cœur et par l'esprit. Le corps, si on en a conscience, peut influencer l'attitude du coeur et le coeur entraîne le corps dans l'adoration.

Aid moubarak à tous.
 Sabrina Mattei
Samedi 27 Octobre 2012

Notez Version imprimable
[Ignorer]
@ fat (boy slim?)

"Sabrina, avoir un langage aussi châtié pour une pensée aussi primitive, c'est presque de la perversion"

C'est censé me faire de la peine j'imagine non?

A mon avis, soit tu n'as pas compris ce que j'ai écrit soit tu fais semblant de ne pas comprendre.
Deux choses: premièrement ce que je dénonce dans l'article c'est ce doux parfum de totalitarisme intellectuel bien dans l'air du temps qui s'imagine progressiste (surtout dès lors que l'on parle d'Islam).
Deuxièmement, je ne cherche pas à m'instituer en une quelconque forme d'autorité supérieure et par conséquent (contrairement à toi) je n'ai pas la prétention de vouloir décréter ce qui est bien ou mal, moralement acceptable ou condamnable (comme le fait de manger "trop" de viande par exemple, plusieurs fois par jour mon dieu!! Tu me diras par rapport à quels critères hormis les tiens) que ce soit sur le bien fondé d'un "sacrifice rituel" (dans lequel chacun saura trouver celui qui lui sied) ou sur l'aspect festif d'une pratique que tu assimiles peut être à un consumérisme grossier (l'argument: "égorgement d'animaux de masse" n'étant qu'à peine exagéré bien sûr, et rhétoriquement neutre cela va de soit, à moins de croire que les musulmans se donnent rendez vous au même endroit pour ce faire comme ils vont au supermarché) mais qui l'est certainement moins que les fêtes de fin d'année dites "traditionnelles"...
 Mariam
Samedi 27 Octobre 2012

Notez Version imprimable
[Ignorer]
C'est une excellente analyse que nous livre saphirnews ici sur une question que je me posais personnellement mais en des termes différentes peut-être parce que mon vécu est différent de celui de l'auteur puisque je n'étais pas musulmane dans mon enfance. Pour nous, les convertis, il y a un dilemme parce qu'on ne voit pas toujours la part de tradition et la part d'islam dans toutes les pratiques. Je trouve cet avis d'un "musulman de naissance", à ce titre, très intéressant et je le partage parce que je suis sûr que si l'on s'y met, on peut rendre l'aïd encore plus intéressant en France en cherchant du côté de l'inter-religieux. Et j'irai même plus loin en constatant que madame Bamba se focalise sur le nombre de moutons qui sont sacrifiés ( 100 à 120 000, cette année 2012) en France. Moi c'est la manière qui me pose problème aussi. Est-on obligé d'égorger le mouton pour qu'il soit halal ? Je sais que la question divise mais je ne vais pas lancer ce débat puisque ce n'est pas l'objet de l'article. Mais j'ajouterai qu'en ces temps-là, égorger le mouton était la manière la plus sûre de réduire la souffrance animale. Ils n'avaient pas d'électricité, ils n'avaient pas d'armes à feu non plus. Je voudrais préciser par ailleurs, pour information, que dans la Bible, le sacrifice d'Abraham n'est pas un mouton qu'on mange, mais il s'agit plutôt d'un holocauste, donc le mouton est brûlé et toute image de "fête du mouton" est évitée. Mais note noble Prophète a eu une autre idée qui évite ce gaspillage. Imaginez 120 000 moutons brûlés !!
Un petit mot sur les commentaires qui sont, pour beaucoup, très instructifs mais quelques uns sont vraiment inutiles comme cette Mattei qui se livre à une psychanalyse à deux balles dans un langage fort compliqué sur la personne de l'auteure... Cela me semble déplacé. Je peux me tromper parce que je ne connais pas encore très bien la communauté musulmane (convertie depuis cinq ans) mais les commentaires montrent que le problème dépasse la seule communauté musulmane. Qu'en pensez-vous ? Enfin, une question personnelle : pourquoi dit-on Tabaski au Sénégal. Quelle est l'origine de ce mot : arabe ? Africaine ? Bonne fête de l'aîd el-kébir
 Sabrina Mattei
Samedi 27 Octobre 2012

Notez Version imprimable
[Ignorer]
C'est drôle...Quand les gens n'ont rien d'autre à objecter que leur propre opinion (à défaut d'avoir une argumentation solide à opposer) c'est la forme qu'ils attaquent...Peut être aurais tu préféré un style d'expression plus rustique pour pouvoir te rassurer dans l'indigence de ta dénégation?

Je ne m'expliquerais jamais ce besoin de vouloir changer l'essence d'un crédo auquel on prétend adhérer quand on a le choix de passer outre.
En partant du principe qu'un Dieu omniscient ait été à l'origine de la révélation Coranique, ne savait il pas qu'un jour le monde serait ce qu'il est (avec électricité et tout!!)?
Par conséquent, remettre en cause le bien fondé du sacrifice (en parlant d'analyse à deux balles, pas mal le passage sur le Prophète écolo avant l'heure qui réfléchit la révélation en termes de gaspillage au lieu d'appliquer la volonté Divine telle qu'elle lui est révélée par le tout puissant : Euh excuse moi Allah, t'es bien sûr de ton coup parce que j'ai un vieux doute là!" ) ne peut procéder que d'un rejet de la foi Musulmane, ce qui est tout de même un comble pour un Musulman revendiqué comme tel!
A moins de vouloir changer le religieux pour mieux le faire correspondre à certaines prérogatives politiques qui ne diraient pas leurs noms...