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'La France est en chute de popularité au Moyen-Orient' Dounia
Clair que les français déconnent jour après jour... et dire qu'on est pas encore sous Sarko ! enfin si Sarko vient moi je fais mes valises cest clair
keblow
Cher Dounia,
Les 3/4 de l'Afrique et du Maghreb souhaite avoir des papiers, vraisemblablement leurs économie respectives ne leur permettent pas de vivre correctement, résultat immigration, puis en France précarité, chômage de masse et pour finir crises des banlieues… Alors n'hésite pas: " enfin si Sarko vient moi je fais mes valises c'est clair", le seul truc c'est que tu vas te casser ou ?? Au Liban, au Soudan, en Tchéchenie ou encore chez le grand conspirateur Américains???? C'est tellement mieux ailleurs...!!! Petit conseil essais Israël.... Sergio
Jamais la France n’a réellement aimé les pays arabes, il est temps qu'ils le comprennent. Nous jouons à les aimer par stratégie, mais en réalité la France a toujours été mariée aux USA, les deux pays entretenant un rapport passionnel qui a débuté par la simultanéité des révolutions françaises et américaines, toutes deux basées sur les écrits des philosophes des lumières, socle du libéralisme historique.
Comment pourrions nous oublier que nous sommes des libéraux ? Même les socialistes français sont libéraux, car en Europe on considère qu’une liberté individuelle maximum garantit la cohésion du groupe en encourageant la diversité des potentiels créatifs, qui créent une dynamique positive. A l’inverse les pays arabes pensent qu’en entravant la liberté individuelle avec des religions dures ou des lois restrictives, on augmente la cohésion du groupe. Ceci nous terrifie car pour nous c’est l’amorce même du fascisme. Le sexisme et l’homophobie institutionnalisés dans ces pays, illustrent d'ailleurs leur dérive totalitaire. La volonté de standardisation est toujours l'émanation du fascisme. Philosophiquement nous sommes incompatibles. Pour le moment. reponse a sergio sur les "religions dures"
Sheikh Muhammad Al-Ghazâlî
Des conceptions qui éloignent l’Européen moyen de l’Islam Mais malgré cela, l’Islam demeure éloigné des Européens. D’après ce que j’en ai lu, ils en sont rebutés pour trois raisons : 1. La cruauté de ses lois, 2. Sa position concernant la prohibition de l’intérêt, 3. Sa position vis-à-vis de la femme et du régime familial. Je voudrais consigner ici quelques vérités ayant trait à ces trois raisons. La cruauté présumée des lois islamiques Ils prétendent que les lois de l’Islam sont cruelles. Que penser de cette assertion lorsqu’on sait que ces lois sont les mêmes que celles que possèdent les Juifs et les Chrétiens dans la Bible ? Ils répondront : « Bien que la lapidation des adultères soit mentionnée dans la Thora, nous l’avons tout de même abandonnée en raison de son caractère cruel et violent, tout comme nous avons abandonné la loi du talion, dont l’application constitue une chose horrible ! » Je ne veux pas leur répondre qu’ils n’ont pas à blâmer l’Islam pour un élément que l’on retrouve dans leur propre Bible. Je veux simplement leur demander : « Qu’avez-vous gagné en reniant le talion et en abolissant la peine de mort ? Vous n’avez fait que rendre service aux criminels et donner libre cours à la violence, dans la plus laide de ses expressions ! » J’ai lu récemment ce fait divers parvenu de Londres sous le titre « Prison à vie pour trois Britanniques accusés d’avoir découpé leur victime en tranches ». Trois hommes, un fossoyeur, un concierge et un ouvrier, ont attiré la victime chez l’un d’eux pour lui extorquer son argent. Après l’avoir frappée à la tête avec une machette, ils ont découpé le corps en tranches à l’aide d’une scie électrique utilisée pour découper la viande, et ce, alors que la victime était encore vivante ! Puis ils ont éparpillé les morceaux de chair humaine près d’une décharge publique. En voyant le sang de la victime couler depuis les portes de la maison, des voisins ont donné l’alerte. Une femme a également fait savoir à la police que les meurtriers l’avaient invitée à venir déguster de la viande savamment préparée ! Le procès de ces assassins a duré deux mois. L’une des séances du procès a dû être reportée lorsque les jurés ont ressenti des nausées à la vue de photographies de restes humains, qui constituaient peu auparavant un homme vivant pour lui-même et pour sa famille. Comment ont été rétribués ces criminels ? Par la prison, où ils pourront se gaver et se saoûler jusqu’à leur belle mort. L’exécution de telles personnes serait une tare pour laquelle l’Islam est pointé à l’index, et qui justifierait que l’on cherche à en rebuter les gens ! Quittons l’Europe pour les États-Unis où le juge du tribunal d’Atlanta a condamné à la prison à perpétuité un criminel accusé d’avoir assassiné vingt-huit jeunes Noirs, qu’il a méthodiquement abattus, l’un après l’autre, sur une durée d’environ un an. Le journal qatari Ar-Râyah rapporte : « La vague de meurtres a cessé après l’arrestation du suspect. La terreur qui s’était emparée de la ville a également pris fin. » L’État doit désormais nourrir ce criminel jusqu’à la fin de ses jours, parce que le talion serait une tare. L’Islam entérinant cette tare, il n’est pas permis de l’embrasser ! Est-ce là ce qui satisfait les Pères de l’Église ? Lorsque l’erreur commise est un trébuchement involontaire inaccoutumé, ou un effondrement soudain d’une volonté humaine animée par de bonnes intentions, l’Islam vient soutenir la personne qui a trébuché pour l’aider à se relever et la personne qui s’est effondrée pour l’aider à tenir ferme. Les conditions posées par l’Islam pour l’application des peines corporelles et du talion viennent confirmer cette vérité [1]. En revanche, si le vice se transforme en attitude ordinaire vécue sans la moindre honte, alors l’autorité publique a le devoir en Islam de le sanctionner, par la lapidation ou la flagellation par exemple. Je ne puis imaginer une turpitude commise devant les yeux de quatre hommes, sauf comme un comportement de bête sauvage vivant dans quelque jungle ou dans quelque terrain vague. Comment peut-on s’étonner que l’Islam fasse preuve de sévérité pour empêcher la prolifération d’un tel fléau ? Les peines corporelles ne s’appliquent pas en cas de doute. Chez certaines écoles juridiques, elles ne s’appliquent pas non plus en cas de repentir. La justice est plus à même de savoir avec clairvoyance dans quels cas la violence se justifie et dans quels cas c’est la clémence qui doit prévaloir. Ce qui importe, c’est de prémunir la société contre la pérennité de la corruption et l’outrepassement des interdits ! Le talion a été légiféré pour sa part pour préserver la vie, non pour donner la mort. L’abolition du talion n’a fait qu’accroître l’effusion de sang, le mépris du droit à la vie et la propagation de l’insécurité. Il est étonnant de constater comment le colonialisme culturel a amené un certain nombre de Musulmans contemporains à avoir honte des lois sur les peines corporelles et le talion, et à préférer voir le monde musulman devenir une piste de danse publique, où se développent toutes les bassesses, ou une scène où des sauvages trouveront de multiples occasions pour agresser et assassiner, comme nous l’avons rapporté au sujet de certaines villes ! C’était là un bref aperçu sur la sévérité des sanctions pénales islamiques, dont on dit qu’elles participent à rebuter les gens de l’Islam, ou que les missionnaires chrétiens prétendent être des objets de critique ! La question de l’intérêt Quant à la question de l’intérêt, on peut en dire autant. L’intérêt est-il licite dans la Thora et l’Évangile ? Certainement pas ! L’Islam n’a pas innové lorsqu’il a prohibé l’intérêt : il n’a fait que réaffirmer l’interdiction déjà formulée dans les anciennes révélations ! Les Juifs et les Chrétiens savent pertinemment que l’intérêt est condamné par leurs religions respectives. Les Juifs ont retenu ce caractère condamnable dans leurs transactions intra-communautaires, mais se sont donné carte blanche pour abuser illégalement des biens des autres. Les Chrétiens les ont suivis dans cette déviance et ont rendu l’intérêt licite, alors qu’auparavant, il était prohibé. Au fil des siècles, la condamnation de l’intérêt a totalement disparu, au point que de nos jours, cette pratique est devenue l’un des fondements de l’économie mondiale. Aucune notion de péché ne lui est désormais associée ! Lorsque les pays européens ont aidé la Pologne à se redresser, lui octroyant des prêts très importants, j’ai pensé que ce soutien relevait d’un sentiment de solidarité dicté par la fraternité chrétienne. Car en Pologne, la population est très conservatrice et très proche de son Église, en déphasage total par rapport au pouvoir communiste [2]. N’oublions pas non plus que le Pape est lui-même d’origine polonaise [3] ! Mais, manifestement, je me suis trompé. L’Occident pratiquait bel et bien l’usure avec une population dans le besoin. Et quelle usure ? Monsieur Mahmûd Sayf Ad-Dîn écrit dans la revue Al-Iqtisâd Al-Islâmî (L’économie islamique) : « La Pologne est au bord d’un terrible désastre, après avoir été incapable de rembourser les 500 millions de dollars d’intérêts sur les dettes de la seule année 1981. Elle a été contrainte à emprunter 350 millions de dollars supplémentaires pour pouvoir rembourser les intérêts dus en cette année catastrophique. » Un banquier et créancier anglais a déclaré qu’il aimerait que les Soviétiques occupent la Pologne afin que les garants russes lui payent les intérêts qui lui sont dus ! Ces propos sont clairs : l’argent est plus important que la religion et la liberté du peuple polonais. Le plus étonnant est qu’aucun responsable catholique n’a daigné rappelé aux politiciens et économistes occidentaux que l’intérêt est illicite ! Cette prohibition a complètement disparu de tous les esprits ! Les hommes d’Église sont plus occupés par l’éradication de l’Islam en Afrique et en Asie, et n’ont guère le temps de penser au licite et à l’illicite. Les Musulmans ont toujours considéré l’intérêt comme l’un des péchés les plus graves qui soient. Malgré les défaites subies par l’Islam, notre conscience religieuse persiste à rejeter l’intérêt, peu ou prou. Mais cette position passive, dans un monde dynamique, ne vaut pas grand-chose. Les gens tomberont inéluctablement dans l’illicite, si nous ne leur facilitons pas la voie et ne les poussons pas de toutes nos forces vers le licite. Il était du devoir des Musulmans de proposer des transactions alternatives non usuraires, et d’ériger pour ce faire des institutions altières. Quoiqu’il en soit, et comme il vaut mieux tard que jamais, ils se sont enfin réveillés : les banques islamiques ont commencé à apparaître par-ci par-là. Certaines personnes s’imaginent que cette expérience des banques islamiques résoudra immédiatement tous les problèmes. C’est une erreur, car entre la théorie et la pratique, il y a une distance dont seul le temps peut venir à bout. D’autres personnes veulent au contraire adopter n’importe quel slogan. C’est aussi une erreur, car autant l’Islam est-il un innovateur dans le domaine du culte — comme le rappelle Ibn Al-Qayyim — autant n’est-il qu’un rénovateur dans le domaine des relations humaines. L’important pour l’Islam est de prémunir les hommes contre la flouerie, l’escroquerie et les abus. Lorsque nous aurons réussi à mener à bien nos projets, c’est-à-dire à garantir des revenus licites et à épurer les bénéfices de l’intérêt, alors nous pourrons changer toute l’économie mondiale. Partant, j’appelle tous les détracteurs qui guettent le moindre faux pas de ces jeunes banques islamiques à craindre Dieu et à soutenir ces institutions financières jusqu’à leur succès. La femme et la famille en Islam Parmi les questions qui rendent l’Islam suspect aux yeux de l’Europe, il reste encore la question de la femme. L’on prétend en Europe que l’Islam rabaisse la femme et porte atteinte à sa dignité. La vérité est pourtant que les femmes occidentales ne peuvent refuser les préceptes de l’Islam qui découlent du Coran, de la Tradition prophétique et de la pratique des premières générations de Musulmans. Y compris en ce qui concerne la polygamie ! J’ai lu dans les propos de certaines femmes allemandes que la polygamie est préférable et plus noble que la relation extra-conjugale. D’ailleurs, après la Seconde Guerre mondiale, les Allemands ont failli promulgué des lois autorisant la polygamie, et ce, dans le but de résoudre la crise démographique due à l’important surplus de femmes. Mais l’Église est intervenue pour s’opposer à une telle mesure et empêcher le vote de la loi. Les femmes raisonnables considèrent que l’entretien par le père ou par l’époux est préférable et plus noble que de demander à la femme de s’entretenir elle-même, à partir de sa majorité ou plus tard. La femme se trouve confrontée à de rudes épreuves au cours de son travail, ou lorsqu’elle doit parcourir des kilomètres pour assurer sa subsistance ! À chaque fois que je prends l’avion, je regarde avec tristesse ces jeunes filles qui travaillent. Je me dis : Pourquoi ne serions-nous pas servis par des hommes au lieu de ces jeunes filles ? Elles accomplissent un rude travail, se déplacent entre des capitales éloignées et passent la nuit loin de leurs familles ! Choisir des femmes pour ce type de travaux n’est pas la marque d’une quelconque humanité. C’est même plus proche d’un comportement animal, même si on leur fait porter le titre d’hôtesses de l’air. L’Islam entend élever la femme au-delà de ce niveau ! Pourtant, nombreuses sont celles que terrifient les traditions islamiques dont elles entendent parler, ou dont elles connaissent des exemples dans les différentes contrées islamiques. Je ne suis pas en train de défendre ces traditions, ni de leur donner mon assentiment ! Ainsi toute femme pratiquant une religion donnée a-t-elle le droit de se rendre à son lieu de culte. Seule la femme musulmane est interdite de pénétrer dans une mosquée, parce que les traditions lui ont imposé de ne pas participer aux prières en congrégation ! Dans des dizaines, voire des centaines de milliers de mosquées, à la ville comme à la campagne, on n’aperçoit l’ombre d’une femme ! Comment est-ce possible, lorsque l’on sait que les femmes qui accompagnaient le Prophète ne cessèrent un jour d’aller à la Mosquée, que les rangs des femmes ne cessèrent d’être remplis, que ce soit du temps du Prophète ou de celui des Califes Bien-Guidés ? L’Islam est une chose, les directions que prennent les gens dans leur rapport à la femme en est une autre. Nul doute que cela nuit à l’Islam et peut donner à notre époque un coup d’arrêt à son message ! Je parcourais la vie de Usâmah Ibn Munqidh, jeune héros qui combattit vaillamment les croisés, les Assassins [4] et les sectes ésotériques qui firent leur apparition au cours du Ve siècle hégirien. D’après sa biographie, c’était un aventurier tenace. Sa famille possédait une citadelle dans les alentours de Hamâh, où ils pouvaient se réfugier. Ce Usâmah partit un jour pour prendre part au combat dans une bataille et s’absenta durant une longue période de la citadelle familiale, laissant derrière lui sa mère et sa sœur. Qu’arriva-t-il après son départ ? La mère distribua des épées aux combattants qui allèrent se positionner pour défendre la forteresse. Puis elle vint voir sa fille, lui demanda de s’habiller et la fit s’asseoir dans un balcon donnant sur une profonde vallée. La mère prit position près de la porte, scrutant la situation et attendant la suite des événements ! Après avoir accompli son devoir, Usâmah rentra à la citadelle. Lorsqu’il chercha ses armes, il ne les trouva pas. Il demanda alors à sa mère : « Où sont les épées ? — Je les ai données à ceux qui nous défendront, lui dit-elle. J’ai pensé que tu ne rentrerais jamais. » Il leva ensuite les yeux vers sa sœur et la découvrit assise au bord de la vallée. Il demanda : « Que fait ma sœur ici ? — Je l’ai installée dans le balcon, répondit la mère, et je me suis installée moi-même à portée de vue, de sorte que si l’ennemi parvenait jusqu’à nous, je la précipiterais au fond de la vallée. Mieux vaut pour elle de mourir que d’être capturée par ces mécréants. » Usâmah Ibn Munqidh dit : « Je remerciai ma mère pour avoir bien agi. » La sœur remercia également la mère lui disant : « Que Dieu te récompense ! » En lisant cette histoire, j’ai plongé dans les abysses de mes souvenirs. La mère veut se reposer, reposer sa fille et sa famille de l’opprobre de la captivité, en précipitant sa fille dans un gouffre béant. Le fils remercie la mère et la fille donne son plein assentiment ! Je me suis rappelé le vers du poète qui dit : Tabghî hayâtî wa abghî mawtahâ shafaqan *** Wal-mawtu akramu nizâlin `alal-harami Elle voudrait que je vive et, par compassion, je voudrais qu’elle meure. Car la mort est le destin le plus digne pour les choses sacrées. [5] Telle était la position de l’honneur dans notre vie et notre histoire. C’est une position sur laquelle il nous faut veiller. Mais pourquoi cette noble sœur n’a-t-elle pas été entraînée à se battre, afin qu’elle devienne comme Safiyyah Bint `Abd Al-Muttalib qui descendit de la forteresse pour tuer un Juif qui rôdait autour, puis qui laissa à Hassân Ibn Thâbit le soin de le dépouiller de ses armes, ayant elle-même été trop timide pour dépouiller un homme mort [6] ? La femme doit apprendre à se battre pour défendre sa terre, son honneur, sa religion et sa vie ! Nous avons négligé cela tout comme nous avons négligé de faire en sorte qu’elle s’attache, pour le culte, à se rendre à la mosquée ! Je ne suis pas en train d’appeler à l’enrôlement des femmes dans l’armée, même s’il est vrai que les enfants d’Israël enrôlent leurs femmes pour se préparer à un jour qui viendra où ils auront affaire à nous ! En effet, avant de faire appel aux femmes dans l’armée, il faudrait déjà que les millions d’hommes qui n’ont pas encore effectué leur service militaire accomplissent leur devoir ! Mais je voulais néanmoins attirer l’attention sur ce décalage entre notre religion et notre vie réelle, un décalage susceptible d’influer sur le parcours et le message de l’Islam, un décalage qui amène certaines personnes à accuser l’Islam de mépriser la femme [7]. P.-S. Traduit de l’arabe du livre de Sheikh Muhammad Al-Ghazâlî, Humûm Dâ`iyah, éditions Nahdat Misr, troisième édition, décembre 1998. Notes [1] Pour ce qui est de la peine de mort en particulier, l’islam donne à la famille de la victime la possibilité de pardonner au meurtrier, si telle est leur volonté, mais il ne les prive pas automatiquement du droit de voir le meurtrier recevoir un juste châtiment, si son crime est établi au-delà du moindre doute. NdT. [2] Sheikh Muhammad Al-Ghazâlî a écrit ce livre au tout début des années 1980, lorsque les pays d’Europe de l’Est étaient encore sous régime communiste. NdT. [3] Il s’agit d’une allusion au Pape Jean-Paul II. NdT. [4] Les Assassins (hashshâshîn en arabe) étaient une secte shî`ite ésotérique, dont les fidèles consommaient le hashîsh, et qui se rendirent célèbres par leurs actes de banditisme contre ceux qui ne partageaient pas leurs vues. C’est de là que le terme français « assassin » tire son étymologie. NdT. [5] Ces vers ont été dits par le poète abbasside Ishâq Ibn Khalaf, dans une ode dédiée à sa fille bien-aimée Umaymah. Dans un monde où les femmes sont l’objet de continuelles vexations et humiliations, Ishâq Ibn Khalaf pleure le sort qui attend sa fille si elle devient orpheline. Il dit préférer la voir morte que de la voir en proie à la misère et au rabaissement. Dans la psychologie arabe, la fierté et l’honneur passent bien avant la vie. L’on préfère mourir dans la dignité plutôt que de vivre dans le déshonneur. NdT. [6] Safiyyah Bint `Abd Al-Muttalib était la tante paternelle du Prophète. Réfugiée dans une forteresse à Médine pendant la bataille du Fossé, en l’an 5 de l’Hégire, alors que les hommes étaient au front, elle aperçut un homme juif qui rôdait autour de la forteresse, probablement en éclaireur, pour vérifier qu’il n’y avait plus de garnison musulmane dans la ville. Elle prit une arme et descendit de la forteresse pour le tuer. Cet acte de bravoure empêcha la ville d’être prise, puisque voyant que leur éclaireur ne revenait pas, les Juifs et leurs alliés considérèrent qu’une garnison musulmane était bel et bien présente à l’intérieur de la ville et qu’il était donc risqué de donner l’assaut. NdT. [7] Sheikh Muhammad Al-Ghazâlî a dédié l’un de ses ouvrages au thème de la femme en islam intitulé Les problèmes de la femme entre traditions stagnantes et traditions étrangères dont nous proposons de nombreux extraits. NdT. keblow
Cher Bicorabzouz
Ton érudition est fantastique, pourtant quelque chose m'interpelle dans ton propos, tu dis" L'on préfère mourir dans la dignité plutôt que de vivre dans le déshonneur. NdT. " Quand ont voit les conditions de vie de la plupart des musulmans en France et en Europe, HLM dépravé, chômage ou travail pénible, ascenseur social inexistant, prison, violence, racisme...etc...comment ce fait 'il qu'il n'y est pas plus de suicide??? Tout cela parce que ton soit disant code de l'honneur est inexistant, les musulmans ne réussissent dans aucun pays, il suffit de voir les économies du Maghreb ou du moyen orient pour s'en convaincre, si il n'y avait pas le pétrole j'ose même pas penser a l'avenir des royautés Arabes. Résultat des courses en Europe ils sont les plus nécessiteux d'aide social de toute part et souhaiteraient malgré tout imposer leur vision de la société qui n'a pas fonctionné dans leur pays d'origine. Cela est bien dommage et il suffit de voir la réussite des Asiatique en Europe et aux USA pour comprendre cela, on estime que dans les grandes écoles Américaines plus de 40% des élèves sont d'origine Asiatique et l'on sait qu'ils seront demain l'élite de ce pays . Regarde notre pays, a part pour hurler du rap sur deux accord minable, je ne connaît pas beaucoup d'autre filière artistique ou professionnelle ou les musulmans soient représentés à leur avantage. C'est regrettable et l'addition pour le futur de notre pays sera lourde a payer. Nos politiciens soit disant humaniste sont en train de couler le navire, c'est gravissime. Quand a la situation de la femme musulmanes en France, c'est comme le pourcentage de musulmans dans nos prisons, il faut pas en parler pourtant les associations de femme sont affolés par le nombre des violence conjugal qui sont aujourd'hui devenue monnaie courante dans nos banlieues même les ados participe à cette humiliation de la femme , et leur homophobie est aujourd'hui capable de les rendre violent et dangereux. J'aimerais bien croire au conte de fée cher Mr Bicorabzouz, mais pour l'instant l'Islam ne montre que haine, violence, misère et guerre et malheureusement sa rupture avec les valeurs de l'occident grandi chaque jour. conseil
keblow d'où vient toi ? poukoi t' insulte-tu des musulmans de cett façon ? t'es un africain !! t'es venu d'un pays pauvre !! et manant trait-tu des gens de pardant en les insultan ss esseyer de leur donner appui !! tu l'etait ..
Alioun
Assalam Anleikoum
Ce Keblow est bien triste... Il nous parle d'islam comme d'un bonhomme qu'on peut rencontrer au coin de la rue. L'islam ceci, l'islam cela... C'est tout votre problème; cette islamophobie dont vous êtes porteur a l'air de vous rendre aveugle... Ceci étant, j'aimerais dire que je trouve l'article très intéressant mais un peu long. On aurait pu ces choses plus simplement... Assalamou Aleikoum ISLAMISME MODERE
Erdoğan Premier Ministre ISLAMISTE TURC
Dès le début de son mandat, Erdoğan joue la carte de l'intégration européenne, coupant l'herbe sous le pied de ses opposants laïcistes. Son gouvernement obtient en décembre 2004 la promesse de l'UE d'entamer des négociations d'adhésion le 3 octobre 2005. Promesse tenue l'année suivante, malgré l'absence de reconnaissance de la République Chypriote et la négation du génocide arménien. Il vit aujourd'hui dans une villa d'un quartier modeste d'Ankara, et demeure passionné de football. Il se rend aux matchs à bord de sa Mercedes blindée. Les réformes du gouvernement Erdoğan Son mandat fut marqué par quelques réformes ambitieuses. La peine de mort a été abolie Droits élargis pour les minorités, autorisation de la diffusion de programmes audiovisuels en langue kurde, et possibilité d'apprendre en privé la langue kurde. La liberté d'expression et d'association a été étendue. Limitation de la répression des manifestations publiques. Elargissement des droits des instances religieuses non musulmanes. Droit de critiquer les forces armées et les autres piliers de l'État turc. La mise en oeuvre de ces réformes s'est toutefois heurtée aux résistances de l'appareil d'Etat. Politique intérieure L'AKP domine largement le Parlement (363 députés sur 550), à cinq sièges seulement de la majorité des deux tiers qui lui permet d'amender la Constitution. Depuis 1987 c'est le premier parti à disposer d'une majorité stable et le seul depuis 1945 à n'avoir qu'une autre force politique en face de lui au Parlement. Ce qui permet au gouvernement Erdoğan de mener sa propre politique sans entrave de l'opposition. La laïcité L'arrivée de l'AKP au pouvoir a fait craindre à l'Union européenne, et à beaucoup d'Européens mais aussi à beaucoup de Turcs, que la laïcité kémaliste pourrait être menacée. Mais la laïcité n'a jamais été remise en question. Erdoğan estime toutefois qu'il faut introduire en Turquie une plus grande liberté religieuse. Son mandat a aussi été marqué par une loi sur l'adultère, qui devait criminaliser l'infidélité. Ce projet de loi a été vite abandonné sur la pression de l'armée, des médias, et de l'union européenne. Erdoğan récuse les accusation d'islamisme et se déclare « démocrate conservateur » ou « démocrate musulman » (en référence aux démocrate chrétiens européens), il s'affirme respectueux de la démocratie et de la laïcité et relègue la religion à la sphère privée. Erdoğan est proche des partis chrétiens-démocrates européens. Il a gommé toute référence à l'islam dans ses discours et son programme est pragmatique: économie, vie quotidienne etc. Politique économique La victoire de l'AKP (Parti de la justice et du développement) est due essentiellement au protestation contre la corruption et à la banqueroute d'un système financier obsolète. La Turquie a affronté sa plus grave crise financière de son histoire récente en 2000 et en 2001. Mais les turcs ont aussi été véritablement marqués par le tremblement de terre de l'année 1999, qui leur a montré l'étendu de la corruption dans leur pays. Ainsi le gouvernement Erdoğan a promis de faire de la lutte contre la corruption une de ses priorités. Mais la victoire de l'AKP doit beaucoup à l'exaspération de la classe moyenne, victime de plein fouet du chômage. Mais pour trouver une solution, c'est-à-dire rééquilibrer les comptes (elle est le deuxième plus gros débiteur du FMI après le Brésil, avec 16 milliards de dollars, sa dette extérieure atteint 30% de son PIB et sa dette publique est de 80%), l'AKP suis la politique économique du FMI. Dans le domaine économique, le gouvernement essuie de vives critiques des milieux d'affaires, notamment celles de la puissante association laïque Tüsyad, qui représente les grandes entreprises turc. Le ministre de l'économie, Ali Babacan affirme que le programme économique du FMI sera mené à son terme, mais en rappelant que certains volets de l'accord seraient repoussés pour mieux combattre l'inflation et la corruption, réformer le système des impôts, et attirer les capitaux étrangers (en particulier européens). Aujourd'hui la Turquie a la croissance la plus rapide de l'OCDE, et le taux d’inflation a fortement reculé et pourrait revenir à un taux annuel à un seul chiffre en 2005, pour la première fois en trente ans. Un nouveau cadre institutionnel pour les politiques monétaire et budgétaire a été mis en place, idem pour les marchés des produits, du travail et des capitaux, les secteurs d’infrastructure et des aides agricoles. Le passage d'Erdoğan au pouvoir a aussi été marqué par la libéralisation de l'économie et la diminution du nombre de fonctionnaires. L'AKP a aussi mis de coté les grandes entreprises turques (Sabancı, Koç, Cukurova, Anadolu, Profilo, etc.) qui tiraient jusqu’à présent l’économie du pays. Ce sont les « tigres anatoliens » qui ont pris leur place. Ils sont représentés par les hommes d’affaires et industriels indépendants (Müsiad). Un lobby qui réunit 2000 membres dans 10 000 entreprises. Grâce à leurs petites tailles, ces petites entreprises ont su s'adapter à la crise économique de 2001, contrairement aux grands groupes kémalistes qui ont dû entreprendre une restructuration douloureuse. L’AKP poursuit la politique entreprise par les anciens gouvernements, c'est à dire mettre fin au protectionnisme d'état et libéraliser les échanges commerciaux, en abaissant les droits de douane, et en supprimant les quotas sur les importations. D'après le sénateur Hubert Haenel : « La faiblesse la plus importante de l’économie turque est l’absence d’investissements directs étrangers [...]. Les investisseurs sur le long terme sont hésitants en raison de l’instabilité des années passées, du souvenir de la surinflation mais aussi des pesanteurs de l’appareil bureaucratique, qui s’accompagne fréquemment de la persistance de la tradition du bakchich. C’est un obstacle pour le programme important de privatisations qui a besoin d’investisseurs étrangers industriels. » Pour plus d'information voir l'article détaillé : Économie de la Turquie Les Kurdes Le PKK (Parti des travailleurs du Kurdistan), après quinze ans de lutte pour l'indépendance et 37 000 morts, avait décrété un cessez-le-feu en 1999 avec l'ancien gouvernement. Le cessez-le-feu a été rompu en 2004 et les opérations contre l'état turc ont augmenté depuis, notamment les attentats contre des touristes étrangers. Le 12 août 2005 Erdoğan a promis de régler le problème kurde avec plus de démocratie. Il a d'ailleurs déclaré dans un discours dans l'une des principales villes kurdes de Turquie : « Chaque pays a connu des jours difficiles dans son histoire. Un grand État et un pays fort comme la Turquie a surmonté de nombreuses difficultés pour arriver jusqu’à aujourd’hui. C’est pourquoi, nier les erreurs du passé ne sied pas aux grands États. Un grand État et une nation forte se tournent avec confiance vers l’avenir en se confrontant à leurs fautes et à leurs erreurs. C’est avec ce principe à l’esprit que notre gouvernement sert le pays. (...) Le problème kurde n’est pas le problème d’une partie de notre peuple, mais le problème de tous. C’est donc aussi le mien. Nous allons régler chaque problème avec encore plus de démocratie, plus de droits civils, et plus de prospérité, dans le respect de l’ordre constitutionnel, du principe républicain et des principes fondamentaux que nous ont légués les pères fondateurs de notre pays. » Puis il a rappelé les trois idéologies que combat l'état turc : le nationalisme ethnique ; le nationalisme régional ; le nationalisme religieux. Puis il rappelle : « Il y a dans notre pays de nombreuses composantes ethniques. Nous ne faisons aucune distinction entre elles. Elles constituent chacune une sous-identité. Il y a un lien qui nous unit tous, et ce lien est la citoyenneté de la République de Turquie. (...) Je le dis à nouveau, la Turquie c’est autant Ankara, Istanbul, Konya, Samsun, Erzurum que Diyarbakir. Je veux que vous le sachiez, chaque endroit de ce pays a des parfums, des couleurs, des voix, des musiques, et des saveurs différentes. » Le gouvernement Erdoğan a mis fin à quinze ans d'état d'urgence dans le Sud-est, et il a également autorisé la diffusion de programme en langue kurde à la radio et à la télévision et a aussi permis l'ouverture d'instituts privés d'enseignement du kurde. Des réformes et des actes qui n'ont pas toutes été suivies d'effets. Les Kurdes réclament également que le gouvernement fasse quelque chose pour sortir la partie kurde de la Turquie de la pauvreté et de la morosité économique. Il a affirmé que le gouvernement n'y prévoyait pas d'investissements industriels, et il a au contraire encouragé les hommes d'affaire locaux à prendre l'initiative, en profitant des mesures d'incitation récemment mises en place. Abdullah Öcalan, le leader indépendantiste kurde et chef du Parti des travailleurs kurdes, à échappé à la peine de mort (il avait vu sa peine commuée en réclusion à perpétuité en 2002, lors de l'abolition de la peine de mort) qu'il attendait et il va être également rejugé sous pression de l'Union européenne qui accuse la Turquie de ne pas lui avoir fait un procès équitable. Abdullah Gül a d'ailleurs déclaré que même en le jugeant « cent fois, il recevra le même châtiment ». Les turcs ont été indigné de se nouveau procès, pour les turcs Öcalan est un chef terroriste, directement responsable des 37 000 morts. Les minorités religieuse en Turquie Le Vatican a dénoncé la « christianophobie institutionnelle en Turquie ». Edmond Farhat, nonce apostolique à Ankara, a affirmé que la liberté religieuse n'existe que sur le papier en Turquie. L’Église catholique se plaint notamment de ce qu'aucune reconnaissance juridique ne lui ait été accordée, reconnaissance juridique qu'elle réclame depuis 1970. L'Église orthodoxe de Constantinople attend toujours la réouverture de sa Faculté de théologie, et les églises se voient retarder sans date les possibilités de faire des réparations indispensables sur leurs églises. Le commissaire européen chargé de l'élargissement, Olli Rehn à d'ailleurs averti par écrit le gouvernement turc que la liberté religieuse appliquée en Turquie ne répondait pas encore à l'un des critères fixés par l'Union. Par contre Erdoğan a promis la restauration de la vieille église arménienne d'Aghtamar, qui va être restaurée après un siècle d'abandon par l'état. Le gouvernement a décidé de financer les deux millions de livres turques des travaux (1,2 million d'euros), qui ont débuté au mois de mai 2005. La diplomatie du gouvernement Erdoğan Recep Tayyip Erdoğan en compagnie de l'ancien ministre des affaires étrangères américain Colin Powell et du président des États-Unis George W. Bush le 10 décembre 2002La diplomatie turque n’a pas changé de cap politique avec la venue d'Erdoğan au pouvoir ; la Turquie est toujours un grand allié d'Israël et des États-Unis. Mais elle a enclenché un rapprochement avec la Grèce et l'Union européenne. La guerre en Irak Pendant la guerre en Irak, le gouvernement américain a demandé la permission aux autorités turques de pouvoir survoler son territoire, ainsi que le déploiement de 62 000 soldats américains dans le pays. Un grand débat a eu lieu à cette occasion en Turquie. Le gouvernement turc s'est prononcé contre le survol de la Turquie par l'aviation américaine, et contre le déploiement de soldats américains en Turquie. Pour faire pression, les américains ont proposé un chèque de 15 milliards de dollars à la Turquie en dédommagement du coût de la guerre. Le gouvernement a demandé l'avis du Parlement, qui a refusé également. Bien qu'hostile à la guerre en Irak, Recep Tayyip Erdoğan, avec le soutien de l'armée, à estimé qu'un soutien aux américains était dans l'intérêt à long terme du pays, notamment pour prendre part aux décisions sur l'avenir des zones kurdes irakiennes. Relation de la Turquie avec Israël Erdoğan n’a pas changé radicalement la politique de la Turquie vis-à-vis de l'État d'Israël. Israël reste un allié majeur pour la Turquie. Ça n'a pas empêché Erdoğan de dénoncer la politique jugée trop musclée du gouvernement d'Ariel Sharon. Au lendemain de l'assassinat du Cheikh Ahmed Yassine (chef spirituel du Hamas), Tayyip Erdoğan n'hésitait pas à qualifier cette opération d'« acte terroriste » puis il dénonce le « terrorisme d'État » pratiqué par Israël dans la Bande de Gaza, avant de rappeler temporairement son ambassadeur à Tel-Aviv et son consul à Jérusalem « pour consultations ». Lors de l'opération Arc-en-ciel qui a eu lieu dans la ville de Rafah, Erdoğan n'a pas hésité à dénoncé la « terreur d’État » de l'État israélien. Il déclare d'ailleurs que « les Israéliens traitent les Palestiniens comme ils ont été traités eux-mêmes, il y a cinq cents ans ». Mais le partenariat stratégique et notamment militaire entre les deux pays n'est pas menacé. Les relations israélo-turques se sont toutefois nettement réchauffées depuis. Erdoğan a proposé le 2 mai 2005 lors d'un voyage officiel en Israël et dans les territoires palestiniens de servir de médiateur dans le conflit israélo-palestinien. Même si Israël s'est aussitôt opposé à la proposition du premier ministre turc par la voix de son ministre des affaires étrangères Silvan Shalom, les tensions ont nettement baissé. Réchauffement des relations entre la Grèce et la Turquie Le gouvernement turc a invité le premier ministre Costas Caramanlis à se rendre à Ankara. C'est ainsi la première visite officielle du genre depuis 1959. C'est à l'occasion de la construction d'un nouveau gazoduc que les ministres grec et turc se sont rencontrés. Le premier ministre turc a longuement remercié son homologue grec pour le soutient qu'il lui apporte pour l'adhésion de la Turquie à l'Union Européenne : « il n'est pas possible d'oublier le soutien qu'a apporté mon ami Costas Caramanlis [au projet d'entrée de la Turquie dans] l'Union européenne, spécialement lors du processus du 17 décembre ». L'AKP cherche activement une solution à la question chypriote, bien que le ministre des affaires étrangères, M. Abdullah Gül reconnaisse que le dossier « n'est pas totalement dans [ses] mains ». Beaucoup pense que le jour où l'armée n'aura plus le pouvoir, un compromis verra le jour sur Chypre entre la Grèce et la Turquie. M. Caramanlis a exprimé « le ferme et réel soutien [de la Grèce] à la perspective européenne » de la Turquie. « Nous suivons avec intérêt vos efforts pour satisfaire à l'objectif de l'acquis européen. ». keblow
Cher ISLAMISME MODERE,
Quand la turquie reconnaitra t 'elle enfin sa responsabilité dans le génocide Arménnien?, le jour ou cela sera le cas je serai convaincu de la crédibilté des responsables politiques Turques et du bien fondé de l'entré de la Turquie dans l'Europe, mais j'ai bien l'impression que ce n'est pas pour demain. Dommage. ISLAMISME MODERE
Des trompeurs traites turcs à l'aide d'impérialistes espions ont chassés le souverain Abdelhamid II à de tel massacre pour lui detruire l'empire ottoman populaires :
"De 1915 à 1917, au cours de la Première Guerre mondiale, le gouvernement Jeunes Turcs de l'Empire ottoman a fait déporter et tuer une grande partie de la population arménienne. Ces massacres, désignés comme le génocide arménien, sont unanimement admis, et de nombreux pays et instances gouvernementales ou religieuses dans le monde les ont officiellement reconnus comme génocide" les Jeunes-Turcs n'ont pas eu le temps d'appliquer leur programme, une nuée de vieux politiciens exilés par Abdülhamid étaient revenus, il y avait parmi eu des grands vizirs, des princes, des ministres, de hauts fonctionnaires… Ils profitèrent des électio En avril 1909 constatant que l'anarchie grandissait de jour en jour, des partisans du sultan retrouvèrent leur assurance. Ils dépêchèrent partout des prêtres et des hodjas pour prévenir que le but des Jeunes-Turcs était la destruction de l'Islam et du Califat. ns pour évincer les révolutionnaires du CUP, et prendre le contrôle du parti. Les artisans de la révolution quittèrent alors l'Anatolie, Niazi en Albanie ou il se fit assassiner, et Enver à Berlin ou il avait été nommé attaché militaire. quant à Mustafa Kemal il occupait les fonctions de chef d'état major. Il est possible que le Sultan ait manipulé cette opposition islamiste, en particulier les étudiants des Softa, fer de lance de l'opposition. Le sultan Abdülhamid II se fait alors interner dans la villa Allatini à Salonique et il est remplacé par son frère Mehmed V (1909-1918) qui n'aura aucun pouvoir réel, marquant la fin de la monarchie absolue ottomane. L'empire ottoman s'effondrait dans les Balkans, l'Autriche-Hongrie avait profité de la désorganisation de l’Empire pour annexer la Bosnie-Herzégovine en 1908. La Libye et l'île de Rhodes devaient être annexées par l'Italie en 1912, des rébellions avaient lieu en Albanie, laquelle alait proclamer son indépendance en 1912. Des rumeurs de débarquement français en Syrie circulaient.......... ISLAMISME MODERE
cher keblow,
L'UE : 25 membres officiels 2 adherents en 2007 : bulgarie et romanie . 3 sans date prévue : croatie , turquie et ARYM ( ancienne république yogoslave de mécédoine .. ) génocide paléstinien de l'etat hebreux .. ( membre caché ds l'UE !! ) génocide algérien de la france .. où est droit de l'homm de la france pour empecher la turquie de l'être .. génocide bosniaque du serbe .. ( serbie pas encore membre de l'EU ).. les peuples chechent toujours à s'etre fort par un régime grand qu'il soit l'UE ou l'empire ottomane c même chose .. l'essentiel c qu'il soit démocratiquement et de droit de l'homme et pas à la méthode d'hitler .. keblow
Cher Islam moderer,
Tu doit vraisemblablement mal connaitre la definition du mot Genocide, par contre ce qui est sur c'est que la Turquie n'a pas le monopole de la barbarie, la je suis d'accord avec toi. Definition: Extermination systématique d'un groupe humain de même race, langue, nationalité ou religion par racisme ou par folie. Tu as comme beaucoup un peu tendance a confondre pour ne pas voir la réalité, la Turquie a toujours un problème avec ces minorités, Kurdes, Chrétienne...c'est dommage !!! koi
keblow toi t'es sioniste de la barbarie hebreuse ds la paléstine ?
keblow
Koi,
NON. koi ke se soit
" brave " keblow ,
koi ke se soit NON Sergio
Je n'ai pas toujours la possibilité de répondre et le forum est difficilement accessible, à cause du PHP les pages doivent être actualisés, le temps d'attente est long : ce langage est agréable à utiliser pour le programmeur mais un vrai ratage pour l'internaute (il exige des serveurs puissants). Cependant il faut que je réponde et il faudrait qu'un jour on ait la possibilité de communiquer entre musulmans et agnostiques/athées européens, car on est si loin les uns des autres, vous nous dites des choses qui nous heurtent à un tel point, que ne serait-ce que par politesse et pour aussi éviter qu'un jour on se rentre dedans, une longue explication s'impose.
Notamment à propos de la réponse longue qui évoque la condition de la femme. J'avoue qu'en tant qu'européen j'ai été extrêmement heurté, choqué, par le fascisme rampant de ces réponses, ce droit univoque surtout. C'est à dire : l'homme a le droit à la polygamie mais la femme n'a pas le droit d'avoir plusieurs hommes. Où est l'équité ? Pourquoi un sexe a plus de droits qu'un autre ? Qu'est devenu l'idéal de justice ? Perdu en route ? J'étais encore plus choqué par le passage où l'on déclare qu'on va élever la femme à une condition meilleure que celle d'être hôtesse de l'air car c'est fatiguant. Mais personne ne vous l'a demandé. De quel droit décide t'on pour les femmes ? On n'a aucun devoir de les protéger malgré elles comme si elles étaient des attardées mentales : elles ne le sont pas et elles ne nous demandent rien. Cessons ces jeux de rôle sexuels ridicules ! Ils sont faits pour stimuler le désir mais n'ont aucune assise dans le réel : beaucoup de femmes sont plus fortes que des hommes, moralement et physiquement. De même de l'autre côté : l'homme n'a pas à sacrifier sa vie pour une femme : personne ne vaut une telle abnégation. Et cette mère qui fait habiller sa fille prête à la jeter en bas de la falaise pour qu'elle ne vive pas avec des mécréants, là c'est le bouquet ! L'amour pour nous occidentaux ce n'est pas la possession de l'autre, l'amour pour nous c'est justement le contraire, le renoncement à la possession et à l'autorité, afin que la personne puisse s'épanouir. On ne coupe pas les ailes des oiseaux, on ne coupe pas les ailes d'un homme ou d'une femme, on lui laisse entière liberté et on l'encourage dans tous ses projets, même s'ils vont à contresens de nos intérêts. Pour nous c'est ça l'amour, et ça me semble bien moins « animal », que cette confusion archaïque entre aimer et posséder. Pour aimer quelqu'un il suffit de s'identifier à ses intérêts, et pas à ses intérêts supposés (comme un code de l'honneur non universaliste), mais à ses intérêts EXPRIMÉS. Ne parlons pas de la lapidation, et des cas extrêmes qui sont présentés pour la justifier. Ce que nous voyons nous autres occidentaux, c'est un troupeau de gens qui mettent toute leur force rageuse dans leurs bras pour jeter des pierres et faire mal. Or ceux là qui se comportent comme des hyènes, car à n'en pas douter ils évacuent leurs frustrations sur le condamné, ceux là ne seront jamais inquiétés. Pourtant ils sont bien plus lâches, puisqu'ils savent se servir du système pour exprimer pleinement leurs instincts sadiques, instincts que dans toute société structurée, l'homme se doit de maîtriser. La peine de mort est bien trop douce pour ceux qui ont tué, je préfère les voir vieillir avec leurs crimes dans leurs têtes, les fantômes de leurs victimes les habitent pour toujours. Soit ils trouvent le chemin d'une éventuelle rédemption, soit ils sont hantés, jusqu'à ce qu'ils trouvent ce chemin. Pour les fous il existe des médicaments. Sur le fond je devine ce que vous trouvez beau dans ce code de l'honneur cruel. Vous le trouvez noble parce que jusqu'auboutiste, une sorte de recherche d'élévation dans la souffrance et la renonciation, et cette préférence pour la mort plutôt que de changer de ligne de conduite (façon samuraï du moyen-âge japonais). Je suis désolé de le redire : cette façon de confondre l'amour et la possession, la vie et la mort, c'est digne de l'antiquité. Nul ne trouve l'honneur dans la mort, la renonciation à se battre, car pour nous occidentaux, toute défaite est provisoire. Chaque défaite est une étape vers une renaissance avec d'autres structures mentales, car nous vivons notre vie comme une quête de l'adaptation. Je vois un peuple dont les valeurs n'ont pas bougé depuis l'époque Romaine, u peuple qui se fixe une ligne de conduite rigide et n'en bouge pas, comme un schizophrène, et ça me terrifie car il n'y a rien de plus fou que ceux qui demeurent statiques dans un monde où rien ne l'est. L'honneur chez les occidentaux c'est la souplesse, donc on est bien dans un choc des cultures, car désormais, en tout nos valeurs semblent inversées. ISLAMISME MODERE
sergio ,
t'es un anomal et un anormal . tes propos le sont taussi . et tu était provoqué par des anomals de musulmans . tu pense tout seul et tu évite les conseils qui te ramène à la bonne voie .. l'affaire de la femme vous dites qu'ell est humilièe chez les musulmans .. et chez ton occident chez vos anormals comme votre devilliers ell est commen votre femme chez lui : pr lui ell juste pr du plaisir et pr la garde d'enfants . la lapidation et chez y'a pas longtemps se trouvait de la guilloutine et en france pays des" lumières "comme vs le dites .montre moi un seul pays de nos jours qui a appliqué la lapidation si tu le trouve c un anormal comme vs désolé qui voit pas que la vie change et que y'a des lois ds la religion susceptibles de se changer .. et ne me parle de Noumairie du soudan lui c pas un politique qui connait rien en islam et a son arriere-plan là dedans .. vs dites aussi des choses on sait pas où on va les classer est-ce ds les libertés ou ds le desorde de la vie toute entière : la femme a le droit à la polygamie .. et ba c bien surtout n'oublions pas on a le droit de se conjuguer à des chattes et à des souris .. c de la liberté et de la lumière bon sang .. et je vais dir à mes proches que j'ai le droit de me marier à une souris ou une chienne.. je me suis éprouvé de ce nouveau courant .. enfin cher caporal ( chez ns on dit "goume" qq ki ne sait ni lire ni ecrire ni discuter ni comprendre .. la dictature jusqu'au .. ) l'exemple de la moderation est devant toi l'exemple islamiste turc et desolé n'ont pas grand pouvoir ds la turquie .. keblow
Cher Sergio,
l'Islam en est au moyen age de son évolution, la barbarie des dogmes, la conception des relations homme femme, le dialogue qu'il entretien avec les autres religions, le rapport a la mort et le culte du martyrs...tout cela est très proche de ce que vivait l'Europe pendant l'inquisition. Ne les blâme pas et n'oubli pas que pour les musulmans nous sommes en 1427. Il leur reste beaucoup de chemin et d'introspection a faire, plus de 500 ans a rattraper pour ce rapprocher d'une vision moderne du monde…Bon courrage..hic… à keblow
sergio,
quand tu tsoumes à ce type de gens ,keblow , t'es et tu sera toujours un anomal ki evite les conseils qui amenent à la bonn voie . keblow
A lmko_54,
S'il te plait utilise ton pseudo pour jouer les prêcheur illuminé… là tu sera sur la bonne voie. Merci. |
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