Comment ne pas mourir de rire ? Je tiens à adresser un grand merci à M. Boubakeur. Oui, un grand merci à toi, car depuis la mise en route de la consultation, tu les collectionnes. Je veux dire les conneries, et franchement ça me fait marrer.
J’n’ai pas l’intention de refaire l’histoire, mais entre nous, qu’est-ce que quelqu’un d’aussi irresponsable que toi fait encore à la tête du CFCM. Qu’est-ce que tu fais à la tête de quoique ce soit d’ailleurs ?
Je trouve qu’il y a quand même des gens vachement culottés. Même pas élu démocratiquement - car M. Boubakeur, il est du genre à se présenter seul à une élection et à trouver le moyen de perdre - mais il l’a ramène haut et fort. Alors ça me fait peut-être marrer, mais je m’en vais quand même lui rafraîchir la mémoire parce que, si c’est ça le président du CFCM, on n’est pas sorti de l’auberge.
M. Boubakeur, t’as pas vu qu’il ne s’agissait pas de la victoire de l’UOIF, mais d’une énorme, d’une monstrueuse, d’une cataclysmique défaite de la Grande Mosquée de Paris. C’est ce que l’on appelle du côté de chez les miens (les jeunes) une déculottée maison. Alors, que tu jettes les raisons de ta défaite sur la victoire des autres, tu fais méchamment dans le raccourci. Mais t’as le mérite de me faire mourir de rire.
Ce qu’il te manque, en vérité, c’est apprendre à perdre et par la même reconnaître ton absence sur le terrain. Non seulement t’es pas connu, mais en plus t’as pas de fidèles. Ce n’est pas moi qui le dis, c’est les urnes. La Mosquée de Paris, c’est pour la majorité des musulmans de notre bled, une mosquée, dans une rue à Paris. Je crois que tu devrais regarder la réalité en face, t’es pas à la hauteur. T’es pas à la hauteur parce que tu ne veux pas te casser le crâne. Tu voudrais tout le monde à ta solde sans bouger le petit doigt. A t’entêter de la sorte, mon « président » bien aimé, tes heures sont comptées à la tête du CFCM.
Ouais, parce que non content d’avoir été parachuté à la tête du CFCM - entorse qu’on a veillée à ne pas crier sur les toits -, tu menaces de démissionner. Alors sache, pour ta gouverne, qu’en ce qui me concerne, c’est pas des menaces, c’est logique et ça me ferait des vacances. Donc encore une fois, loin de me faire pleurer, si t’en avais le courage, tes soit disant menaces elles me font marrer.
Tu dis t’inscrire dans le camp des « modérés ». Waw ! Ca c’est la blague qui m’a flingué le plus je crois. J’en ris encore. Dalil, tu respires la modération, le seul problème c’est que t’es asthmatique. Dalil le libéral ! Hihihihi ! Pardon, ressaisissons-nous. Non, la façon dont tu te définis, fais de toi le seul « modéré libéral ». Toujours est-il que j’aimerais bien que tu m’expliques quand est-ce qu’on passe de modéré à intégriste et vice versa ? Il existe peut-être, à l’instar de l’alcootest, un islamotest dont tu détiendrais le brevet. Tu peux peut-être me dire à partir de combien de grammes on devient un ivrogne de l’islam et donc un danger public ?
Quant à ceux que tu qualifies être tes fidèles, où sont-ils ? Je te renvois, une fois n’est pas coutume, à tes résultats. En tous cas, tous les jeunes (ils ne sont pas virtuels) qui me connaissent, parce que je vais à leur rencontre moi, ces jeunes, ils ne t’aiment pas. Les amalgames que tu développes à leur sujet, c’est à gerber. Je m’en vais le leur dire. De même que je leur dirais, mort de rire : « Dalil, président du CFCM, arrête de nous faire marrer. »
J’n’ai pas l’intention de refaire l’histoire, mais entre nous, qu’est-ce que quelqu’un d’aussi irresponsable que toi fait encore à la tête du CFCM. Qu’est-ce que tu fais à la tête de quoique ce soit d’ailleurs ?
Je trouve qu’il y a quand même des gens vachement culottés. Même pas élu démocratiquement - car M. Boubakeur, il est du genre à se présenter seul à une élection et à trouver le moyen de perdre - mais il l’a ramène haut et fort. Alors ça me fait peut-être marrer, mais je m’en vais quand même lui rafraîchir la mémoire parce que, si c’est ça le président du CFCM, on n’est pas sorti de l’auberge.
M. Boubakeur, t’as pas vu qu’il ne s’agissait pas de la victoire de l’UOIF, mais d’une énorme, d’une monstrueuse, d’une cataclysmique défaite de la Grande Mosquée de Paris. C’est ce que l’on appelle du côté de chez les miens (les jeunes) une déculottée maison. Alors, que tu jettes les raisons de ta défaite sur la victoire des autres, tu fais méchamment dans le raccourci. Mais t’as le mérite de me faire mourir de rire.
Ce qu’il te manque, en vérité, c’est apprendre à perdre et par la même reconnaître ton absence sur le terrain. Non seulement t’es pas connu, mais en plus t’as pas de fidèles. Ce n’est pas moi qui le dis, c’est les urnes. La Mosquée de Paris, c’est pour la majorité des musulmans de notre bled, une mosquée, dans une rue à Paris. Je crois que tu devrais regarder la réalité en face, t’es pas à la hauteur. T’es pas à la hauteur parce que tu ne veux pas te casser le crâne. Tu voudrais tout le monde à ta solde sans bouger le petit doigt. A t’entêter de la sorte, mon « président » bien aimé, tes heures sont comptées à la tête du CFCM.
Ouais, parce que non content d’avoir été parachuté à la tête du CFCM - entorse qu’on a veillée à ne pas crier sur les toits -, tu menaces de démissionner. Alors sache, pour ta gouverne, qu’en ce qui me concerne, c’est pas des menaces, c’est logique et ça me ferait des vacances. Donc encore une fois, loin de me faire pleurer, si t’en avais le courage, tes soit disant menaces elles me font marrer.
Tu dis t’inscrire dans le camp des « modérés ». Waw ! Ca c’est la blague qui m’a flingué le plus je crois. J’en ris encore. Dalil, tu respires la modération, le seul problème c’est que t’es asthmatique. Dalil le libéral ! Hihihihi ! Pardon, ressaisissons-nous. Non, la façon dont tu te définis, fais de toi le seul « modéré libéral ». Toujours est-il que j’aimerais bien que tu m’expliques quand est-ce qu’on passe de modéré à intégriste et vice versa ? Il existe peut-être, à l’instar de l’alcootest, un islamotest dont tu détiendrais le brevet. Tu peux peut-être me dire à partir de combien de grammes on devient un ivrogne de l’islam et donc un danger public ?
Quant à ceux que tu qualifies être tes fidèles, où sont-ils ? Je te renvois, une fois n’est pas coutume, à tes résultats. En tous cas, tous les jeunes (ils ne sont pas virtuels) qui me connaissent, parce que je vais à leur rencontre moi, ces jeunes, ils ne t’aiment pas. Les amalgames que tu développes à leur sujet, c’est à gerber. Je m’en vais le leur dire. De même que je leur dirais, mort de rire : « Dalil, président du CFCM, arrête de nous faire marrer. »