Pendant que les postulants à l’investiture du parti Républicain font la compétition du candidat le plus islamophobe, Bernie Sanders tente de faire entendre la raison.
Le sénateur du Vermont est intervenu à la télévision pour parler des réactions américaines suite aux attentats de Bruxelles. « Les gens craignent une attaque aux États-Unis mais ils doivent savoir que nous ne pouvons porter atteinte à notre Constitution dans le but de détruire l’État islamique », a-t-il expliqué, précisant qu’il fallait « protéger la nation grâce un meilleur partage des renseignements » et « s’assurer que les jeunes ne deviennent des terroristes au travers des réseaux sociaux ».
Bernie Sanders a fustigé l’attitude de Donald Trump qui a récemment soutenu la proposition de Ted Cruz visant à accentuer la surveillance des musulmans. Le milliardaire avait par ailleurs estimé que les attentats de Bruxelles auraient été évités si Salah Abdeslam avait été torturé...
« Nous ne pouvons pas permettre à Donald Trump d'utiliser ces incidents pour attaquer tous les musulmans dans le monde. Cela est injuste », explique le candidat démocrate. Une affirmation suivie d’un tonnerre d’applaudissements du public. « Dire qu'un musulman est un terroriste est scandaleux, tout comme expliquer que les Mexicains immigrant aux Etats-Unis sont des violeurs et des criminels », a-t-il ajouté.
Bernie Sanders s'est démarqué cette semaine de sa rivale démocrate Hillary Clinton - mais aussi des autres candidats -par son absence au grand rendez-vous de l'AIPAC, lobby pro-israélien. Celle-ci a affirmé sa totale solidarité à Israël, plaidant pour un renforcement des relations américano-israéliennes, ce qui lui a valu un tonnerre d'applaudissements.
De son côté, le sénateur du Vermont a critiqué l'occupation et la colonisation israéliennes et leurs conséquences, notamment dans la bande de Gaza, victime de raids réguliers, appelant.
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