La photo officielle de l’équipe de France féminine pour la Coupe du monde 2019. © Capture d’écran/FFF
La France organise, du 7 juin au 7 juillet, sa première Coupe du monde féminine de football. Après un été 2018 flamboyant marqué par le sacre des Bleus, l’équipe de France féminine peut espérer de nouveau ranimer la flamme de l’unité sur les Champs-Elysées. Si les Bleues l’emporte, leur exploit se rapprochera davantage du succès de 1998. Le palmarès français est, en effet, désespérément vierge à l’international chez les Bleues. Le meilleur résultat obtenu jusqu’ici est une demi-finale de Mondial perdue en 2011 en Allemagne face aux Etats-Unis.
La France a, cependant, des raisons de croire en ses chances. L’équipe possède comme ossature un noyau de joueuses de l’Olympique lyonnais qui ont remporté cinq Ligues des champions féminine de l’UEFA (Coupe d’Europe des clubs) dont les trois dernières éditions. La gardienne Sarah Bouhaddi, la défenseure Wendy Renard, la milieu Elise Bussaglia et l’attaquante Eugénie Le Sommer ont chacune, à leur actif, plus d’une centaine de matchs en équipe de France.
La capitaine, Amandine Henry, à l’OL également, est considérée comme l’une des meilleures milieux de terrain de la planète. Celle qui a été élue deuxième meilleure joueuse pendant la Coupe du monde 2015 aura à charge de guider ses coéquipières vers le sacre à la manière d’un Didier Deschamps en 1998.
Corinne Diacre, nommée à la tête de la sélection des Bleues en août 2017, pourra aussi s’appuyer sur les talents émergents tels qu’Aïssatou Tounkara (Atlético de Madrid) et Kadidiatou Diani (PSG).
Les Tricolores devraient pouvoir compter sur l’engouement populaire autour de la compétition. Plus de 600 000 billets avaient déjà été écoulés à moins de trois mois du match d’ouverture France – Corée du Sud qui se tiendra au Parc des Princes vendredi 7 juin. Cette rencontre inaugurale se jouera à guichets fermés. Plus de 920 000 billets ont été vendus, sur le 1,3 million qui sont disponibles.
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