Sur le vif
Natacha Atlas ©Denis Rouvre
Cinq ans après son dernier album au succès timide, Natacha Atlas revient sur le devant de la scène avec un nouveau registre. C’est au côté du trompettiste Ibrahim Maalouf que la chanteuse nous délivre « Myriad Road », un nouvel album aux couleurs jazz, qui signe résolument un nouveau départ.
Connue pour son interprétation du titre « Mon amie la rose », Natacha Atlas a fait la mauvaise expérience de l’artiste cataloguée. Car si la chanteuse a fait ses débuts au sein du groupe anglais Transglobal Underground en s’imposant très vite comme la voix orientale contemporaine en Occident, elle ne s’imaginait pas rester enfermé dans un rôle qui ne lui ressemblait pas.
Connue pour son interprétation du titre « Mon amie la rose », Natacha Atlas a fait la mauvaise expérience de l’artiste cataloguée. Car si la chanteuse a fait ses débuts au sein du groupe anglais Transglobal Underground en s’imposant très vite comme la voix orientale contemporaine en Occident, elle ne s’imaginait pas rester enfermé dans un rôle qui ne lui ressemblait pas.
Natacha Atlas et Ibrahim Maalouf ont co-écrit l'album « Myriad Road » © Denis Rouvre
Autant influencée par les musiques électroniques, rock ou orientales et adepte des sonorités hybrides, Natacha Atlas, qui a pourtant toujours refusé les clivages s’est laissé prendre au jeu, celui de satisfaire un public, une industrie qui l’avait consacré chanteuse orientale.
Difficile de faire autre chose sans décevoir, mais après quelque tentatives dont plusieurs albums restés confidentiels, elle croise la route du musicien, compositeur et producteur Ibrahim Maalouf, qui lui ouvre de nouvelles perspectives musicales.
Un nouvel album, un nouveau départ, loin des clichés orientaux et plus en phase avec le monde d’aujourd’hui. Un album jazz où le swing s’accommode à merveille de poésie arabe, c’est ainsi qu’on redécouvre la chanteuse anglo-égyptienne qui, grâce au trompettiste franco-libanais, peut faire raisonner ses chants au-delà de son registre habituel.
Difficile de faire autre chose sans décevoir, mais après quelque tentatives dont plusieurs albums restés confidentiels, elle croise la route du musicien, compositeur et producteur Ibrahim Maalouf, qui lui ouvre de nouvelles perspectives musicales.
Un nouvel album, un nouveau départ, loin des clichés orientaux et plus en phase avec le monde d’aujourd’hui. Un album jazz où le swing s’accommode à merveille de poésie arabe, c’est ainsi qu’on redécouvre la chanteuse anglo-égyptienne qui, grâce au trompettiste franco-libanais, peut faire raisonner ses chants au-delà de son registre habituel.
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