La mosquée de la Miséricorde avait dû fermer ses portes le 30 mai sur ordre de la municipalité de Nîmes. Le maire LR Jean-Paul Fournier avait alors invoqué des raisons de sécurité, estimant que les risques d’effondrement étaient élevés et que la fréquentation en hausse durant le mois de Ramadan faisait courir un risque trop important.
Un accord a finalement été trouvé dans la soirée du jeudi 2 juin au cours d’une réunion entre le maire, le préfet Didier Lauga et des représentants de l’Association cultuelle islamique. La mairie accepte de vendre la mosquée de la gare aux fidèles, de mettre en œuvre « les procédures judiciaires nécessaires à cette cession dans le respect des délais réglementaires légaux » et, surtout, de sécuriser la façade du bâtiment pour éviter tout effondrement.
Pendant la durée des travaux qui doivent démarrer le 6 juin, après évacuation des lieux, les musulmans pourront prier dans la salle des Costières de Nîmes. L’Association cultuelle islamique s’engage en retour à mettre fin à toutes ses procédures judiciaires engagées contre la mairie. Les fidèles devront également racheter les locaux, estimés à 500 000 euros. Environ 100 00 euros ont déjà été collectés et un appel aux dons a été lancé auprès des musulmans du département.
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