Mis en examen vendredi 17 novembre pour « dégradation volontaire du bien d’autrui » et « mise en danger de la vie d’autrui », le parquet de Créteil a placé l’individu sous contrôle judiciaire.
Le 29 juin dernier, Babayan T., un homme de 43 ans, a tenté d'attaquer la mosquée de Créteil en utilisant son 4x4. Il avait alors heurté à plusieurs reprises les plots et barrières de protection du lieu de culte, percuté un terre-plein central avant de prendre la fuite. La police l’a interpellé le jour même devant chez lui, près de l’église de Créteil.
L’Arménien avait vu sa garde à vue levée afin d’être interné en hôpital psychiatrique. Le quadragénaire avait expliqué son geste par la volonté de « venger le Bataclan et les Champs-Elysées » mais aussi par la « profanation d’un monument commémorant le génocide arménien, proche de la mosquée ». « Dès le début de la garde à vue, on a compris que le gars était fou et que cela n’avait rien à voir avec du terrorisme contrairement à ce qu’on a essayé de faire croire», affirme une source proche de l’enquête dans les colonnes du Parisien.
Aujourd’hui, l'inidividu a plusieurs obligations à respecter : celle de reste en France, de se soigner, de pointer au commissariat, de ne pas conduire de véhicule et de ne pas approcher la mosquée de Créteil à moins d’un kilomètre. Une expertise psychiatrique est en cours afin de déterminer son degré de responsabilité.
En juillet dernier, les responsables de la mosquée avaient adressé une plainte auprès du procureur de la République de Paris afin d’obtenir la requalification des faits et une reconnaissance du caractère terroriste de l’attaque mais la demande fut rejetée.
Lire aussi :
Attaque de la mosquée de Créteil : recours déposé pour faire reconnaître le caractère terroriste
Créteil : l’apaisement après le choc de l’attentat manqué contre la mosquée
Le 29 juin dernier, Babayan T., un homme de 43 ans, a tenté d'attaquer la mosquée de Créteil en utilisant son 4x4. Il avait alors heurté à plusieurs reprises les plots et barrières de protection du lieu de culte, percuté un terre-plein central avant de prendre la fuite. La police l’a interpellé le jour même devant chez lui, près de l’église de Créteil.
L’Arménien avait vu sa garde à vue levée afin d’être interné en hôpital psychiatrique. Le quadragénaire avait expliqué son geste par la volonté de « venger le Bataclan et les Champs-Elysées » mais aussi par la « profanation d’un monument commémorant le génocide arménien, proche de la mosquée ». « Dès le début de la garde à vue, on a compris que le gars était fou et que cela n’avait rien à voir avec du terrorisme contrairement à ce qu’on a essayé de faire croire», affirme une source proche de l’enquête dans les colonnes du Parisien.
Aujourd’hui, l'inidividu a plusieurs obligations à respecter : celle de reste en France, de se soigner, de pointer au commissariat, de ne pas conduire de véhicule et de ne pas approcher la mosquée de Créteil à moins d’un kilomètre. Une expertise psychiatrique est en cours afin de déterminer son degré de responsabilité.
En juillet dernier, les responsables de la mosquée avaient adressé une plainte auprès du procureur de la République de Paris afin d’obtenir la requalification des faits et une reconnaissance du caractère terroriste de l’attaque mais la demande fut rejetée.
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