Quel rouge pour quelles zones et quelles restrictions ? Désormais, quatre niveaux d’alertes ont été instaurés par le gouvernement pour les zones classées en rouge, « où la circulation du virus est particulièrement forte », a souligné le ministre de la Santé, Olivier Véran.
Ces zones et ces niveaux d’alerte reposent sur trois critères : le taux d’incidence global, le taux d’incidence chez les personnes âgées et la part des patients contaminés par le virus en réanimation. La France se retrouve donc divisée en plusieurs catégories : les agglomérations placées en « zone en alerte », celles placées en « zone d’alerte renforcée » et enfin, celles placées en « zone en alerte maximale » où la situation sanitaire est considérée comme la plus préoccupante car « les conséquences sont déjà lourdes sur le système sanitaire ».
Dans ces zones, les préfets seront autorisés à prendre des mesures restrictives spécifiques pendant au moins 15 jours. La majorité de ces nouvelles règles seront appliquées dès samedi 26 septembre.
Ces zones et ces niveaux d’alerte reposent sur trois critères : le taux d’incidence global, le taux d’incidence chez les personnes âgées et la part des patients contaminés par le virus en réanimation. La France se retrouve donc divisée en plusieurs catégories : les agglomérations placées en « zone en alerte », celles placées en « zone d’alerte renforcée » et enfin, celles placées en « zone en alerte maximale » où la situation sanitaire est considérée comme la plus préoccupante car « les conséquences sont déjà lourdes sur le système sanitaire ».
Dans ces zones, les préfets seront autorisés à prendre des mesures restrictives spécifiques pendant au moins 15 jours. La majorité de ces nouvelles règles seront appliquées dès samedi 26 septembre.
Des codes couleurs en fonction du niveau de gravité
Les « zones en alerte », colorées en rouge clair : Dans ces agglomérations, les rassemblements de plus de 30 personnes vont être interdits et les préfets seront autorisés à prendre des mesures complémentaires pour assurer la sécurité sanitaire des habitants.
Les « zones d’alertes renforcées », colorées en rouge : Dès lundi 28 septembre, une fermeture anticipée des bars sera prévue. Les restaurants ne sont a priori pas concernés par cette mesure. En outre, les grands rassemblements de plus de 1 000 personnes seront interdits ainsi que les fêtes locales et étudiantes de plus de 10 personnes. L’accès aux espaces publics sera également réduit avec la fermeture des espaces de sports, des gymnases, des salles de fêtes et des salles polyvalentes. Côté travail, le gouvernement invite les entreprises à « favoriser le télétravail autant que possible ».
Comme dans les zones en alerte, les préfets sont autorisés à prendre des mesures encore plus restrictives si la situation l'exige.
Ces nouvelles limitations concernent les métropoles de Bordeaux, Grenoble, Lyon, Toulouse, Nice, Saint-Etienne, Rennes, Montpellier, Lille et Rouen. Paris et sa petite couronne sont également placés dans cette zone.
Enfin, les « les zones d’alerte maximale », colorées en rouge écarlate : Bars et restaurants seront totalement fermés dès samedi et ce, pendant 15 jours minimum. Tous les établissements publics ne seront plus ouverts au public, sauf ceux qui respectent un protocole sanitaire strict, type musées et cinémas.
La Guadeloupe et la métropole d'Aix-Marseille sont placées en zone d'alerte maximale.
Un quatrième et dernier niveau est envisagé par les autorités : celui de l’état d’urgence sanitaire. A ce stade, aucun département n'est concerné par ce seuil d'alerte.
Mise à jour vendredi 9 octobre : Après Marseille et Paris, ce qui va changer pour plusieurs agglomérations en zone d'alerte maximale
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Comme dans les zones en alerte, les préfets sont autorisés à prendre des mesures encore plus restrictives si la situation l'exige.
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