Ses propos sur le Sahara occidental et la Mauritanie ont provoqué bien des tensions entre Rabat, Alger et Nouakchott. « Soucieux de préserver (sa) liberté d’expression, sans conditions et sans pressions », Ahmed Raïssouni a présenté, dimanche 28 août, sa démission de la présidence de l’Union internationale des savants musulmans (IUMS) qu’il occupait depuis 2018.
Le prédicateur marocain a fait part de cette décision dans une lettre publiée sur les réseaux sociaux. « Je suis en concertation avec le secrétaire général en vue d’actionner la décision, conformément aux deux articles 21 et 22 du règlement de l’Union », a-t-il indiqué.
Des appels à la démission mais aussi à des excuses publiques se sont multipliés. Ahmed Raissouni a choisi, plutôt que de s’excuser, de partir de l’IUMS. L’institution avait réagi aux propos du prédicateur en assurant simplement qu’ils n'engageait que lui.
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Quand un savant musulman provoque des tensions entre le Maroc, l'Algérie et la Mauritanie
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Des appels à la démission mais aussi à des excuses publiques se sont multipliés. Ahmed Raissouni a choisi, plutôt que de s’excuser, de partir de l’IUMS. L’institution avait réagi aux propos du prédicateur en assurant simplement qu’ils n'engageait que lui.
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